Biologie et médecine quantique #3: le photon, une vibration d’énergie et d’informations.

Le photon est en fait très mal nommé. On lui a gardé son nom de particule, de “grain de lumière”, nous dirons sa polarité “yang”, alors qu’il n’est qu’exceptionnellement sous cette forme. Uniquement pour flatter nos sens !

Onde ou particule ? Onde et particule ?

Il existe dans tout l’univers une densité gigantesque de photons (109 par m3) qui se propagent comme une onde dans toutes les directions.

L’ensemble des photons constitue la lumière, dont nous ne percevons qu’un spectre très limité (de 380 nm, le violet, à 780 nm, le rouge) avec nos petits yeux d’humains.

Mais au delà de la lumière, les photons détiennent bien d’autres potentialités. A commencer par l’interaction électromagnétique, mais aussi de l’énergie (qui intervient sur la température), et des informations de tous ordres, en particulier pour gérer la structure des atomes (neutrons, protons et tous les champs ou particules plus ou moins virtuelles en charge de leur cohésion).

Dans le domaine du vivant, il semble que la densité de photons soit nettement plus forte, ce qui apporte un surcroît d’informations partagées au sein des cellules (biophotons de Fritz Popp).

La lumière est une vibration qui se déplace à la vitesse de la lumière, mais sans aucun transport de substance: le photon qui apparaît, par exemple sur la surface d’un objet observé, n’est en rien un “grain de lumière” qui aurait voyagé, déguisé en vibration, mais une réaction locale de notre fameux “substrat” sous l’effet cumulé des photons et de l’observation.

Comme toute onde électromagnétique, la lumière est absorbée dans la matière, en provoquant deux types d’effets:

un effet thermique, en cédant de l’énergie.

un effet dynamique sur les atomes matériels: le champ électromagnétique de l’onde exerce une force sur les charges qui l’absorbent, cela tend à accélerer les charges dans une direction privilégiée, qui est celle de la propagation de l’onde: la lumière tend à repousser la matière devant elle.

Les photons, sans masse ni charge, représentent dans tout l’univers LE médium universel, qui apportent à la fois énergie et informations, sans limite d’espace ou de temps, puisqu’à la vitesse de la lumière, le temps est dépourvu de signification …

Toutes les ondes portées qui s’individualisent dans le champ universel sont modulables en terme de fréquence et de longueur d’onde, tout cela est très physique et bien connu aujourd’hui.

On peut définir ce spectre entre deux points extrêmes:

  • les ondes cosmiques, à l’une des extrémités, de très forte valeur énergétique, dont les fréquences mesurables sont de l’ordre de 3.10 (puissance)20 hertz, avec des mongueurs d’ondes de 3.10(puissance)-5 angtrôm. Des grandeurs qui dépassent notre entendement.
  • à l’autre extrémité, on voit se déployer les ondes des courants électriques et industriels, de très basse fréquence (longueurs d’ondes de plusieurs kilomêtres), sans compter certains projets militaires de type Haarp…

Si nous reprenons notre spectre tel quel sous la forme d’une oscillation onduleuse, l’une des extrémités du spectre est dans l’infiniment petit des ondes cosmiques, l’autre dans l’infiniment grand des ondes radio et des ondes électriques.

Si l’on accepte la continuité d’un bout à l’autre, l’une des extrémités du spectre s’achemine continuellement vers l’infiniment petit et l’autre continuellement vers l’infiniment grand. Les deux extrémités s’éloigneraient-elles l’une de l’autre sans jamais se rejoindre ? Pourquoi l’Univers, qui est basé sur l’unicité, serait-il divisé en deux parties continuellement opposées ? Si la terre est ronde, le spectre électromagnétique l’est aussi: le rond est une droite qui s’est rejointe par l’effet de l’unicité. Où et comment les deux bouts se rejoignent t’ils ?

Poussons l’évidence: plus les ondes vont vers des longueurs d’ondes de plus en plus petites et serrées, plus elles forment un lien et un tracé continu. Plus les ondes vont vers des longueurs d’ondes de plus en plus grandes, plus elles s’étalent dans l’espace et elles forment un lien et un tracé continu, identique à la trajectoire précedente.

L’avant et l’après du spectre sont de même nature. Notre univers matériel ne peut pas s’exprimer schématiquement en ligne droite, mais en boucle ou en cercle.

Autrement dit, dans les deux infinis, grand et petit, les ondes et leur support ne peuvent qu’être de de nature identique et ne peuvent que se rejoindre en se fondant. Le photon reste le photon ….

Jean-Yves Gauchet . Source Yvon Combe

Cet article se situe dans un dossier sur les médecines quantiques. Les articles précédent évoquaient les erreurs et contraintes de la méthode scientifique conventionelle, puis la notion d’éther.

Une conférence d’alain Aspect.