Les immunoglobulines G4, sources de graves troubles auto-immunitaires.

C’est un “variant” immunitaire qui se développe naturellement via une hyper-présence d’antigènes (pollens par exemple), ou du fait de vaccinations répétées avec là encore un envahissement antigénique que l’organisme ne supporte pas.



Cette dernière cause a été bien documentée lors d’essais de vaccins contre le VIH, on risque de la retrouver à grande échelle avec les vaccins contre le covid.

On appelle “maladie à IG4” l’inflammation violente, cause de fibrose et de tumeurs, due à l’accumulation d’immunoglobulines G4 dans des organes.

La maladie à IgG4 peut toucher différents organes comme le système nerveux central, les glandes salivaires, la thyroïde, les poumons, le pancréas, les voies biliaires, le foie, le tube digestif, les reins, la prostate …. avec des symptômes relatifs à l’organe atteint. Sa définition et son diagnostic sont histologiques et se caractérisent par la présence d’un infiltrat dense lympho plasmocytaire de l’organe, plus ou moins associé à une fibrose (qui peut être étendue et mutilante), des veinulites oblitérantes, un infiltrat positif pour les IgG4 en immuno histochimie dans un contexte d’élévation sérique des IgG4 dans plus de 80% des cas.(5-7)
Les mécanismes physiopathologiques en jeu dans la maladie à IgG4 sont encore très mal connus  et plusieurs voies ont été évoquées.

En amont de la maladie, la question principale, pas encore bien comprise, est la suivante: dans quelles circonstances, et quel mécanisme les cellules B produisent des G4, perturbatrices, plutôt que des G3, protectrices. On en connait le cadre de départ: un switch brutal des lymphocytes depuis les TH1 (immunité cellulaire) vers les TH2 (immunité par les anticorps, essentiellement les IG 3. Pour les détails, c’est assez touffu. Pour les initiés, voici le tableau à compulser dans son article original:

Donc le problème survient lors d’un déséquilibre immunitaire soudain qui bouscule l’organisme. On l’a constaté en 2020, lors de travaux de vaccinations répétées contre le VIH, entrainant la production d’IGM protectrices, mais aussi la production non désirée d’IG4.

Concernant le Covid, ou plutôt les vaccinations compulsives contre ce virus, les travaux manquent pour constater si , en plus des méfaits de la protéine spike qui inonde certains organismes, on aurait également une fibrose inflammatoire due à ces vaccins répétés. Des nombreuses alertes, à titre individuelles, émanent de chercheurs du monde entier, mais sans écho au niveau des responsables de santé.

Jean-Yves Gauchet