Les leçons d’une épidémie “sous secret défense”

Dans secret défense, il y a le mot secret, donc des choses que l’on refuse de communiquer au commun des mortels. Il y a aussi le mot défense, d’où la présence de militaires pour prendre en charge les opérations. On considérait que ce virus Covid, fabriqué par l’homme, était très toxique, sans traitement, et il a été traité comme s’il y avait une guerre biologique. Donc opérations qui doivent rester secrètes.

Il y a au moins deux leçons à tirer impérativement de cette affaire, avant qu’elle soit oubliée dans les mémoires .

La première leçon : la médecine aux médecins. Ce n’est ni aux politiques (ni aux militaires) de dire aux médecins comment ils doivent soigner. Je ne comprends pas que l’Ordre et les syndicats, voire même la profession n’aient pas protesté quand on leur a dit de ne rien faire, quand on a poursuivi ceux qui soignaient sans regarder leurs résultats.

La seconde leçon : il faut absolument fermer tous ces laboratoires qui manipulent les virus (sournoisement dénommés « laboratoires de haute sécurité biologique P4 »). Un jour ils vont tuer l’humanité. Quand on lit certaines demandes refusées par les autorités, certains de ces chercheurs ont autant de scrupules que certains médecins de triste mémoire de la dernière guerre mondiale. Ce qu’ils manipulent est pire qu’une bombe atomique, qui elle ne se répand pas sur toute la planète. Par ailleurs, le « bénéfice/risque » de ces laboratoires est négatif, raison de plus. Qu’ont trouvé ces centaines de laboratoires, depuis des décennies contre Ébola, contre le HIV, contre les coronas et plus largement contre les virus ? Rien qui puisse nous rendre service (à ma connaissance). Production zéro, risque total. Ces chercheurs qui s’amusent à faire des chimères sont trop dangereux, on vient de le voir, cela aurait pu être bien pire, ce que craignaient les autorités vu leur comportement. Ce coup de semonce doit être salutaire, malheureusement encore personne n’a remis en question l’existence de ces laboratoires.

Accessoirement il faut aussi revoir le fonctionnement de ces Agences de Sécurité du Médicament, qui ont ignoré la sécurité en autorisant, au vu de plaquettes publicitaires de laboratoires pharmaceutiques, et en quelques jours, sans aucune transparence, refusant de communiquer leurs délibérations, des produits nouveaux, sans aucun recul, dont ils ne connaissaient même pas la composition réelle. Eux aussi savaient, mais n’ont rien dit. Inversement, ces agences ont empêché des produits bénins, comme l’ivermectine, dont le plus grand risque pour le patient était que cela soit sans effet, mais pour eux que cela marche. Pour cela, ils ont manipulé le résultat de leurs propres études. La guideline de l’OMS sur l’ivermectine précisait noir sur blanc (encore un fait, pas des paroles), que cela réduisait de 80% la mortalité. (lisez, page 19). On nous explique que 7 études et 1 419 patients (en occultant 89 autres études portant sur 134 554 patients), ce n’est pas assez. Rappelons que pour autoriser l’ivermectine dans l’onchocercose, cela a été fait à partir d’une seule étude, et sur 1 206 patients (rechercher chiffre exact). Mais c’était un autre temps, … “autres temps, autres mœurs”, autre médecine.

Gérard Maudrux

Source: CovidFactuel