Ce phénomène aux mille facettes cliniques, reste un mystère pour une médecine que se perd dans ses propres éparpillements. Pour comprendre et réagir, il faut revenir aux bases de la physiologie.
Les débris plastiques flottants provenant de la pollution soutiennent désormais une nouvelle communauté à la surface de la mer composée d’espèces côtières et océaniques en mer qui pourraient laisser présager des changements écologiques importants dans l’environnement marin.
En Atlantique et mer d’Iroise, on n’avait jamais vu autant de prises de poulpes depuis cet été. Jusqu’à 20 fois plus, attrapés à la ligne ou au casier. Retour à l’équilibre, ou bien chamboulement écologique ?
Cette pieuvre préfère visiblement la marche sur deux (ou trois?) tentacules, à la nage qui met en oeuvre les huit membres … Du fait de blessures? Ou par un comportement spontané d’amélioration de ses déplacements ?
Les fourmis, les guêpes, les abeilles et d’autres insectes sociaux vivent dans des colonies « eusociales » hautement organisées où des foules de femelles renoncent à la reproduction pour répondre aux besoins de quelques reines pondeuses et de leur progéniture. Phénomène génétique ou adaptation en temps réel de l’ensemble de la colonie ?
« Tête de linotte ! », « cervelle de piaf ! »… Les humains abusent de noms d’oiseaux et se moquent au passage de leur prétendue bêtise. Mais savons-nous réellement de quoi nous parlons ? De la corneille japonaise qui casse ses noix en utilisant les feux de circulation, de la fauvette à tête noire qui fait la liaison pôle Nord-pôle Sud, du geai buissonnier qui sait évaluer « la date » de péremption des aliments cachés ou de la pie qui imite à la perfection la sonnerie du téléphone ?… Les exemples abondent, amusent, intriguent, et toujours remettent en question nos clichés.
Observez ainsi ce corbeau qui, pour s’abreuver, s’évertue à introduire des cailloux dans la bouteille afin d’en rendre accessible le contenu…
On a mis en évidence chez ces organismes on ne peut plus simples et archaïques, des relations intercellulaires en complètes phases avec les fonctionnements de nos organes bien plus élaborés. Y compris les relations entre fonctions nerveuses et digestives.
Cette hormone essentielle pour la survie est canalisée normalement dans le contexte d’ une existence naturelle. Notre mode de vie de type « toujours plus » en a dérèglé les équilibres. Et cela met en jeu les fonctions mêmes de l’humanité.
Selon qu’on leur accorde ou non une âme, les animaux éprouvent des attitudes et des préceptes très différents selon les religions. Dans cet article, un historique et un état des lieux.
Le vautour a soudain pris la place du loup, le méchant prédateur qui dévaste les troupeaux. Entre le sensationnalisme journalistique et les mesquineries paysannes, ce rapace timoré a du mal à faire reconnaître son rôle écologique : il constitue pour tous un allié sanitaire gratuit, qui permet un recyclage utile et à bon compte de toutes les charognes abandonnées dans la nature. A ce titre , il fait barrage à bien des affections redoutables.