Le gui, un modèle végétal pour étudier (et soigner?) le cancer.

Comme les cellules cancéreuses, le gui, ce parasite végétal vigoureux, présente un métabolisme original, gros consommateur de glucose, avec une déficience des mitochondries. Comme le gui “pompe” les sucres de son soutien végétal, la tumeur est avide du glucose sanguin du malade.

Continuer la lecture de Le gui, un modèle végétal pour étudier (et soigner?) le cancer.