Le gui garde encore bien de ses secrets….

Seules marques de verdure dans les branches dépouillées de l’hiver, les rameaux de gui sont depuis des siècles apparus comme des formes naturelles de résistance à l’âge et aux maladies.  Le début du XXème siècle, à l‘époque d’une phytothérapie empirique mais efficace, a vu de nombreuses applications médicales reposer sur l’utilisation des différentes espèces de cette plante hors normes.

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Le gui, un modèle végétal pour étudier (et soigner?) le cancer.

Comme les cellules cancéreuses, le gui, ce parasite végétal vigoureux, présente un métabolisme original, gros consommateur de glucose, avec une déficience des mitochondries. Comme le gui “pompe” les sucres de son soutien végétal, la tumeur est avide du glucose sanguin du malade.

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