Un puissant courant visant à accompagner des adolescent(e)s dans un désir de changer de sexe s’est développé dans tout l’univers occidental. Un principe de “liberté de choix”, parfois à l’insu des parents. Et des cliniques spécialisées qui exploitent ce nouveau marché.
Des incidents en marge du phénomène transgenre sont maintenant courants, par exemple dans le domaine sportif, où des hommes féminisés remportent toutes les compétitions féminines, ou bien dans le domaine carcéral, quand des prisonniers hommes deviennent transgenres … pour être hébergé(e)s dans des prisons pour femmes, plus tranquilles jusque là mais désormais susceptibles de supporter viols et agressions…
Après tout, ceci ne concernait que des adultes …
Mais le phénomène touche désormais les ados, voire même des pré-ados gavés d’images suggestives et des promesses sensuelles via les réseaux. Avec en corollaire de la prostitution précoce, et des demandes de changements de genre, prises en compte par des assos militantes très actives, souvent à l’insu des parents.
Des cliniques spécialisées se sont développées, comme cette chaîne Kaiser, où les chirurgiens, après des hésitations de façade, n’hésitent pas à pratiquer des actes chirurgicaux irréversibles sur des ados de 13 ans.
C’est le cas de Layla Jane, qui a commencé à s’identifier comme transgenre à l’âge de 11 ans. Jane, à l’époque, voulait faire la transition vers un homme. Au départ, les médecins de Kaiser lui ont refusé toute hormone de transition, affirmant qu’elle pouvait les prendre après ses 16 ans. Cependant, les médecins ont changé d’avis, approuvé sa demande et pratiqué une double mastectomie à l’âge de 13 ans.
Jane est désormais en procès contre la chaîne Kaiser: elle a écrit sur Twitter : “C’est ahurissant pour moi qu’un médecin ait signé une double mastectomie pour moi avant que je ne suive un cours d’éducation sexuelle. J’ai à peine commencé la 8e année, j’avais 13 ans”.
Dans la lettre d’intention de poursuivre ( pdf ), ses avocats chez LiMandri et Jonna LLP ont accusé les médecins d’avoir approuvé la chirurgie d’ablation mammaire “sans effectuer une évaluation et un traitement adéquats des comorbidités de santé mentale étendues de Layla“. Selon la lettre, Jane souffre d’anxiété, de dépression, de luttes pubertaires, de dysmorphie corporelle et de graves problèmes d’image de soi.
Le procès exige des montants non spécifiés de rémunération pour les dommages liés à ses problèmes de santé pendant sa période de transition de 12 à 17 ans. L’affaire a répertorié Jane comme souffrant de mutilation permanente et irréversible, d’un état induit de maladie endocrinienne, d’un risque accru d’être stérile, et le fait qu’elle ne pourrait jamais allaiter un enfant.
Chloe Cole, 18 ans, est une autre jeune femme qui a détransitionné et a intenté une action en justice contre le géant hospitalier.
On lui a prescrit des bloqueurs de la puberté et des hormones sexuelles croisées et on lui a enlevé les seins à l’âge de 15 ans. Elle dit qu’elle regrette d’avoir fait les procédures.
« Les adultes qui étaient censés prendre soin de moi et me guider quand j’étais enfant ne l’ont pas fait, et ils en assumeront la responsabilité »,
Source: The EpochTimes