La description quantique de molécules en interaction conduit à des calculs notoirement complexes dès que leur nombre dépasse quelques unités. Une étude récente a néanmoins réussi à reproduire sur une gamme étendue de températures des grandeurs dynamiques de l’eau liquide telles que la diffusion et la viscosité.
Pendant 15 ans, les scientifiques ont été déconcertés les écoulements de l’eau au travers de nanotubes de carbone – des canaux en carbone de taille nanométriques. L’eau s’y écoule paradoxalement plus facilement dans les nanotubes les plus étroits, avec une friction qui devient quasi nulle. Ces écoulements ultrarapides ont déjoué toutes les théories classiques du transport de fluides.
Des conférences pour découvrir les bases de physique quantique, de biologie cellulaire et de chimie pour appréhender les fondements scientifiques de l’homéopathie, et de bien d’autres thérapies dites alternatives pour renforcer votre immunité face aux aléas de la vie.
Un modèle physique pour comprendre le fonctionnement de l’homéopathie
les 28 février et 1er mars 2022 (16h) à Neuilly près de Paris (ou en visio).
Un modèle physique pour comprendre le fonctionnement de l’homéopathie: cycle de formations de Sylvie Henry Réant. Lundi -Mardi 26-27 avril 2021 – 2 jours.
Depuis les travaux de F-A Popp, on sait que la cellule vivante émet des biophotons, qui semblent avoir (quelle surprise!) un rôle à la fois énergétique et de porteur d’informations. A usage interne (un “système nerveux” intérieur de chaque cellule), à usage externe de “conversations” entre cellules, voire entre individus.
Que ce soit par intuition ou bien selon une réflexion, tous les hommes avant nous ont affirmé que notre monde est né de la lumière. Et cela sans synchrotron ni satellite d’observation … Quant à nous, plus notre savoir augmente, et plus nous pouvons intégrer cette idée.
Cette
lumière est impalpable, omniprésente, et il va falloir de sacrées
circonvolutions de la pensée pour la faire aboutir à de la matière palpable et
localisée.
Surtout
lorsque, de l’aveu même de nos chercheurs de pointe, nos moyens d’observations
“passent à coté” de 73 à 90% de la matière existante. Existante, car néanmoins
mesurable en astrophysique pour caractériser les galaxies et l’évolution de
l’univers. Mais pas du tout mesurable dans le microcosme, à l’échelle nano …