Jusqu’ici, les résidus de brasserie (ce qui reste de l’orge après fermentation), étaient fort peu valorisés, essentiellement vers l’alimentation animale de peu de valeur nutritive. Mais désormais, on peut en consommer, c’est un bonne action environnementale …de la “récup’ alimentaire!
Si les cosmétiques, les vêtements se parent désormais de froufrous très décarbonés, les aliments sont plutôt présentés selon leurs qualités diététiques ou sanitaires.
Hé bien on peut aller plus loin dans le “bon pour la planète”. Les issues de brasseries, une matière secondaire peu ragoutante jusqu’ici reléguée aux volailles et cochons, sont désormais mises en avant comme des ingrédients écologiques, responsables, ce qui fait qu’on peut les retrouver dans des aliments industriels pas vraiment en phase avec nos besoins et notre santé.
- dans le pain, en améliorant le croustillant, en diminuant le taux de glucides,, en préservant l’humidité.
- idem pour les pâtisseries
- idem pour les biscuits, apportant en prime une couleur “de brûlé” appétissante
- dans les pâtes à pizza, en renforçant la texture et la solidité de la pizza.
- dans les pâtes, là aussi, une texture plus ferme
- et puis (photo ci-dessus) dans les snacks de grignotage, avec un craquant supérieur qui plait en bouche.
Que des qualités! Dommage que la plupart de ces produits soient préparés avec force fructose de maïs, ce qui en ramène à zéro les qualités diététiques …