Le cerveau, tissu inexpugnable, protégé par une barrière hémato-céphalique infranchissable, mais aussi par un système immunitaire interne intraitable ? Hé bien non, cette copie est à revoir.

Le cerveau, tissu inexpugnable, protégé par une barrière hémato-céphalique infranchissable, mais aussi par un système immunitaire interne intraitable ? Hé bien non, cette copie est à revoir.
L’usage détourné de la kétamine, un médicament anesthésique, comme hallucinogène s’installe dans la population, même chez les jeunes. Ce produit peut entraîner des comportements addictifs, avec toutes les conséquences que cela implique, et peut aussi conduire à des complications sévères, notamment urinaires. Il fait l’objet de suivis par des dispositifs de surveillance spécialisés.
Système parasympathique, nerf vague et substances amères.
Que vient faire cette particularité nerveuse dans cet ouvrage sur les molécules amères ? De fait, les chercheurs en neurologie et les diététiciens fonctionnent dans des mondes séparés. Hé bien dans cet article, nous allons réunir leurs savoirs …
Continuer la lecture de L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (8)Un exemple: l’abeille butineuse ne fait que frôler le calice d’une fleur bien offerte: les grains de pollen vont se détacher sponatément pour rejoindre l’insecte, par simple effet électrostatique. Explications.
Ces récepteurs d’amertume ont une fonction de reconnaissance gustative sur la langue, mais se retrouvent dans tout l’organisme avec des rôles spécifiques, de type nerveux ou bien immunitaires.
An niveau de l’Indonésie, une frontière invisible coupe le Pacifique en deux zones aux caractères biologiques bien différents. Explications.
La longue histoire des récepteurs de goût; ou là encore, la fonction crée l’organe … L’organisme s’adapte en permanence à ses besoins. Par voie génique ou épigénétique…
La perception du goût: olfaction rétro-nasale, puis gustation via la langue et le pharynx, avec des efférences nerveuses différentes.
Cette saveur amère, peu appréciée spontanément, est un signal d’alerte pour l’organisme, en bouche bien sûr, mais également dans tout le corps où des récepteurs spécifiques détectent les molécules amères, et mettent en route des réactions de défense et de modulation immunitaire. Une saveur qui protège notre santé !
Depuis quelques années, les laboratoires de recherche se passionnent pour les substances amères (des centaines de molécules, essentiellement issues de plantes), leur place dans la phylogénie des végétaux, leur rôle dans la co-évolution plantes/animaux, dans notre propre historique alimentaire, enfin dans les effets bénéfiques qu’on peut en attendre.
C’est passionnant et prometteur. Je vous promets une quinzaine de billets sur ce sujet. Bienvenue dans les prémices de l’amérothérapie.
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