Les fourmis, les guêpes, les abeilles et d’autres insectes sociaux vivent dans des colonies « eusociales » hautement organisées où des foules de femelles renoncent à la reproduction pour répondre aux besoins de quelques reines pondeuses et de leur progéniture. Phénomène génétique ou adaptation en temps réel de l’ensemble de la colonie ?
La terra preta ( « terre noire » en portugais, est un type de sol aménagé par l’Homme dans le bassin d’Amazonie il y a quelques siècles, et sans doute dans d’autres contrées tropicales , et dont on ne peut jusqu’ici que constater l ‘extraordinaire fertilité, sans savoir en reconstituer la formulation. C’est pourtant une piste évidente, pour une fertilisation naturelle des sols.
La désoxygénation des zones côtières est principalement due au phénomène d’eutrophisation lié à la fertilisation excessive des sols par les engrais dans les bassins versants de fleuves qui les déversent dans les estuaires et les zones côtières
En augmentant dans l’organisme le taux de sérotonine, certains antidépresseurs ont une action effective sur les malades en début de symptômes, avec environ 30% d’hospitalisations en moins.
L’eau est omniprésente dans l’organisme, sous forme circulante (sang, lymphe, liquide céphalo-rachidien), sous forme extra-cellulaire (c’est l’eau du conjonctif), et sous forme intracellulaire, où les molécules sont comprimées et forment un réseau dont on est loin de connaître tous les secrets…
Tissu conjonctif très hydraté (cartilage). Photo N Mourin
Le Comité international olympique (CIO) vient de publier un nouveau cadre qui remet en question le règlement concernant les niveaux d’hormones pour les athlètes transexuels de sexe masculin participant à des sports féminins.
Des conférences pour découvrir les bases de physique quantique, de biologie cellulaire et de chimie pour appréhender les fondements scientifiques de l’homéopathie, et de bien d’autres thérapies dites alternatives pour renforcer votre immunité face aux aléas de la vie.
Un modèle physique pour comprendre le fonctionnement de l’homéopathie
les 28 février et 1er mars 2022 (16h) à Neuilly près de Paris (ou en visio).
Le système immunitaire est diffus, dispersé entre la moelle osseuse et tous nos tissus. Mais il existe une “tour de contrôle”, elle-même répartie entre notre intestin et notre cerveau.
« Tête de linotte ! », « cervelle de piaf ! »… Les humains abusent de noms d’oiseaux et se moquent au passage de leur prétendue bêtise. Mais savons-nous réellement de quoi nous parlons ? De la corneille japonaise qui casse ses noix en utilisant les feux de circulation, de la fauvette à tête noire qui fait la liaison pôle Nord-pôle Sud, du geai buissonnier qui sait évaluer « la date » de péremption des aliments cachés ou de la pie qui imite à la perfection la sonnerie du téléphone ?… Les exemples abondent, amusent, intriguent, et toujours remettent en question nos clichés.
Observez ainsi ce corbeau qui, pour s’abreuver, s’évertue à introduire des cailloux dans la bouteille afin d’en rendre accessible le contenu…
On a mis en évidence chez ces organismes on ne peut plus simples et archaïques, des relations intercellulaires en complètes phases avec les fonctionnements de nos organes bien plus élaborés. Y compris les relations entre fonctions nerveuses et digestives.