La réponse est dans la production d’interférons par les muqueuses respiratoires, quasi immédiate chez les jeunes (amygdales et tissus lympho¨¨ïdes associés), bien plus tardive chez les adultes . Une étude nantaise précise bien les choses.

La réponse est dans la production d’interférons par les muqueuses respiratoires, quasi immédiate chez les jeunes (amygdales et tissus lympho¨¨ïdes associés), bien plus tardive chez les adultes . Une étude nantaise précise bien les choses.
Ce phénomène aux mille facettes cliniques, reste un mystère pour une médecine que se perd dans ses propres éparpillements. Pour comprendre et réagir, il faut revenir aux bases de la physiologie.
(suite de l’article précédent)
Longtemps appelé « tissu de remplissage et de soutien », le conjonctif apparaît désormais comme un domaine clé de notre physiologie, qui bien au delà de son rôle nutritif et hydratant, organise à distance la gestion des gènes (épigénétique) en fonction de facteurs extérieurs (l’environnement) ou intérieurs (émotions, encrassements métaboliques, etc.). Et c’est la qualité hydrique du conjonctif qui conditionne les équilibres (ou les pathologies) de bien des tissus qui y sont plongés.
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Une manière de limiter le gaspillage des fruits et légumes, est d’augmenter leur résistance aux bactéries et aux champignons. Des principes végétaux, placés sur des patches qu’on colle aux fruits, peuvent jouer ce rôle.
Les débris plastiques flottants provenant de la pollution soutiennent désormais une nouvelle communauté à la surface de la mer composée d’espèces côtières et océaniques en mer qui pourraient laisser présager des changements écologiques importants dans l’environnement marin.
En Atlantique et mer d’Iroise, on n’avait jamais vu autant de prises de poulpes depuis cet été. Jusqu’à 20 fois plus, attrapés à la ligne ou au casier. Retour à l’équilibre, ou bien chamboulement écologique ?
Cette pieuvre préfère visiblement la marche sur deux (ou trois?) tentacules, à la nage qui met en oeuvre les huit membres … Du fait de blessures? Ou par un comportement spontané d’amélioration de ses déplacements ?
Les fourmis, les guêpes, les abeilles et d’autres insectes sociaux vivent dans des colonies « eusociales » hautement organisées où des foules de femelles renoncent à la reproduction pour répondre aux besoins de quelques reines pondeuses et de leur progéniture. Phénomène génétique ou adaptation en temps réel de l’ensemble de la colonie ?
La terra preta ( « terre noire » en portugais, est un type de sol aménagé par l’Homme dans le bassin d’Amazonie il y a quelques siècles, et sans doute dans d’autres contrées tropicales , et dont on ne peut jusqu’ici que constater l ‘extraordinaire fertilité, sans savoir en reconstituer la formulation. C’est pourtant une piste évidente, pour une fertilisation naturelle des sols.
La désoxygénation des zones côtières est principalement due au phénomène d’eutrophisation lié à la fertilisation excessive des sols par les engrais dans les bassins versants de fleuves qui les déversent dans les estuaires et les zones côtières