Récolter et déposer des glands pour passer l’hiver, c’est un comportement commun à de nombreux animaux, par exemple les écureuils… Mais dans le cas de ces pics américains, ces glands de réserve sont placés un par un dans des orifices creusés dans des écorces, et il sont partagés par tout un groupe: une quasi “banque de glands” au bénéfice de tous.
Les ingénieurs en mécanique des fluides n’ont toujours pas intégré (sauf quelques avant gardistes) la résistance des liquides à circuler dans des conduits rectilignes. Frottements aux revêtements, différences de pression et de température… les fluides se cherchent un chemin bien différent qu’on peut leur aménager … la Nature l’a bien compris, puis des visionnaires comme Tesla ou Schauberger.
Avec deux annuaires du téléphone pour relever la tête de lit, votre physiologie nocturne prend un coup de légèreté. Oui, mais pourquoi ? Ce principe n’est pas nouveau, mais n’a pas été revendiqué, ni par des médecins, ni par des doctes hygiénistes dont pourtant l’Histoire est jalonnée. Il a fallu la curiosité et l’entêtement d’un ingénieur anglais, pour démontrer la valeur médicale, ou tout au moins les vertus curatives de ce procédé simplissime.
Les études toxicologiques classiques s’appuient sur la prise de substances douteuses, à doses diverses, avec observation des effets biologiques. Mais on peut aussi observer les incidences d’une alimentation bio, versus alimentation “normale”… Sur des perdrix, les résultats sont quasi immédiats… le Bio est un réel facteur de santé.
Il y a environ 252 millions d’années, la Terre a subi l’événement écologique le plus important et le plus destructeur de son histoire: l’extinction du Permien-Trias, également connue sous le nom de Great Dying. Cette extinction massive a effacé plus de 90% des espèces marines et 70% des espèces terrestres. Qu’est-ce qui aurait pu provoquer un épisode aussi cataclysmique?
Les bactéries sont partout autour de nous, mais aussi dans notre intérieur (poumons, intestins …) . La biologie pastorienne les a identifiées, pour mieux les contrôler sur un plan médical, mieux les asservir pour des processus bio-industriels. Mais après un siècle de belligérance, on s’aperçoit que “l’adversaire” est le plus souvent un partenaire, et qu’il existe dans son milieu naturel, de manière totalement différente que dans nos cultures de laboratoires. Avec de telles erreurs de jugement, il n’est pas étonnant d’assister à des échecs thérapeutiques ou technologiques, en particulier lorsque les bactéries s’organisent en commun pour créer des biofilms.
L’eau de ballast est de l’eau stockée dans la coque d’un navire pour assurer la stabilité et améliorer la maniabilité pendant un voyage. Lorsque le navire atteint sa destination, le ballast est vidé dans l’eau du nouveau port, avec son lot d’invités indésirables sous forme de bactéries, virus, algues, petits invertébrés, œufs ou larves de diverses espèces qui ont fait du blablaboat… et peuvent devenir des espèces envahissantes.
Le « daïsugi » consiste à faire pousser plusieurs arbres sur une seule et unique souche. Pour ce faire, il faut tailler les jeunes pousses de façon à ne garder que celles qui poussent vers le haut. Ainsi, le bois obtenu ne contient aucun nœud et est beaucoup plus résistant.Un arbre taillé selon la méthode du « daisugi » produit du bois pendant environ trois siècles.
Ce spectacle végétal fantastique n’existe qu’au Japon…
Notre santé actuelle paie très cher l’utilisation de ce faux sucre, un sous-produit d’une agriculture intensive de Big Agro (engrais, eau, OGM, pesticides… et subventions sans fins) que Big Nutri (vous connaissez les marques) incorpore dans les assiettes, au bénéfice en commun de Big Pharma qui « soigne » les diabètes, cardiopathies et autres cancers. Si vous cherchez bien, ce sont bien souvent les mêmes actionnaires…
La Nature n’est pas avare en substances dommageables pour des organismes biotiques. Mais ceci dans un cadre d’équilibre naturel, structuré par des millions d’années d’évolution du Vivant. Et puis l’Homme est arrivé, chimiste chevronné, inventeur de milliers de molécules synthétiques inconnues de nos organismes. Notre petite bulle appelée Terre en est désormais saturée, leurs effets s’observent à tous les niveaux.