Une manière de limiter le gaspillage des fruits et légumes, est d’augmenter leur résistance aux bactéries et aux champignons. Des principes végétaux, placés sur des patches qu’on colle aux fruits, peuvent jouer ce rôle.

Une manière de limiter le gaspillage des fruits et légumes, est d’augmenter leur résistance aux bactéries et aux champignons. Des principes végétaux, placés sur des patches qu’on colle aux fruits, peuvent jouer ce rôle.
Cette hormone essentielle pour la survie est canalisée normalement dans le contexte d’ une existence naturelle. Notre mode de vie de type « toujours plus » en a dérèglé les équilibres. Et cela met en jeu les fonctions mêmes de l’humanité.
Si le miel et la gelée royale sont les deux produits de la ruche les plus ancrés dans nos esprits, nos vaillantes abeilles ont plus d’un tour dans leur jabot et leurs alvéoles … Elles savent en particulier préparer un aliment à la fois roboratif, énergétique, digeste, à base de miel et de pollen fermenté : c’est le pain d’abeilles.
Dans son rôle magnifique du Dr Knock, Louis Jouvet a institué cette expression pseudo médicale : « ça vous chatouille, ou ça vous gratouille ? ».Ces deux sensations anodines devenaient des symptômes terrifiants qui mettaient le patient sous la coupe du médicastre véreux. Mais la gratouille, comme la chatouille, comment ça se soigne ?
Horaires éclatés, déferlement des écrans, célibat et monoparentisme, sur-urbanisation, nomadisme, atrophie des surfaces habitables, disponibilité de livraisons immédiates, nouveaux « matériaux » culinaires… autant de facteurs sociologiques ou technologiques qui influencent à toute vitesse notre mode de vie alimentaire… et au passage notre santé.
Les plantes sauvages, qui poussent “comme elles peuvent”, présentent des profils moléculaires originaux, et peuvent agir comme de véritables remèdes, faciles à intégrer dans notre alimentation. En tête, l’ortie, le pissenlit, le pourpier, l’épilobe, en tout une vingtaine d’amies à mieux connaître … et à cueillir le long de nos chemins.
Comment survivre dans une eau trois fois plus salée que son propre sang, sans pouvoir accéder à de l’eau douce ? Les mammifères marins (mais aussi oiseaux et reptiles) ont dû mettre en place au cours des millénaires, des adaptations anatomiques et physiologiques. Et ça marche parfaitement.
Depuis toujours considérée comme un domaine spatio-temporel plein d’écueils, réservé à des activités douteuses, voire maléfiques, la nuit est désormais un continent vierge à coloniser pour toutes sortes d’activités économiques, qui se développent sans tenir compte de réalités biologiques primordiales.
Si la science médicale occidentale commence à prendre en compte l’importance de la chronobiologie sur notre développement, notre métabolisme, et sur l’efficacité des soins, il y a belle lurette que les thérapeutes chinois ont intégré le temps, en particulier les cycles jour/nuit, dans leurs méthodes de soins.