En appoint de l’article précédent, cette mise au point sur les attitudes différentes observées pour une alimentation détachée de la “filière animale”

En appoint de l’article précédent, cette mise au point sur les attitudes différentes observées pour une alimentation détachée de la “filière animale”
Le végétarisme est un mouvement social qui repose sur un engagement individuel, et qui prend un essor très marqué depuis quelques années, ceci dans le monde entier. Est-ce un phénomène de mode, ou bien un principe d’écologie et de bonnes conduites en rapport avec nos difficultés du XXIème siècle ? Sûrement non, il s’agit de principes et de débats qui ont quatre mille ans de recul, ils se sont simplement désormais laïcisés.
Une manière de limiter le gaspillage des fruits et légumes, est d’augmenter leur résistance aux bactéries et aux champignons. Des principes végétaux, placés sur des patches qu’on colle aux fruits, peuvent jouer ce rôle.
Cette hormone essentielle pour la survie est canalisée normalement dans le contexte d’ une existence naturelle. Notre mode de vie de type « toujours plus » en a dérèglé les équilibres. Et cela met en jeu les fonctions mêmes de l’humanité.
Si le miel et la gelée royale sont les deux produits de la ruche les plus ancrés dans nos esprits, nos vaillantes abeilles ont plus d’un tour dans leur jabot et leurs alvéoles … Elles savent en particulier préparer un aliment à la fois roboratif, énergétique, digeste, à base de miel et de pollen fermenté : c’est le pain d’abeilles.
Dans son rôle magnifique du Dr Knock, Louis Jouvet a institué cette expression pseudo médicale : « ça vous chatouille, ou ça vous gratouille ? ».Ces deux sensations anodines devenaient des symptômes terrifiants qui mettaient le patient sous la coupe du médicastre véreux. Mais la gratouille, comme la chatouille, comment ça se soigne ?
Horaires éclatés, déferlement des écrans, célibat et monoparentisme, sur-urbanisation, nomadisme, atrophie des surfaces habitables, disponibilité de livraisons immédiates, nouveaux « matériaux » culinaires… autant de facteurs sociologiques ou technologiques qui influencent à toute vitesse notre mode de vie alimentaire… et au passage notre santé.
Les plantes sauvages, qui poussent “comme elles peuvent”, présentent des profils moléculaires originaux, et peuvent agir comme de véritables remèdes, faciles à intégrer dans notre alimentation. En tête, l’ortie, le pissenlit, le pourpier, l’épilobe, en tout une vingtaine d’amies à mieux connaître … et à cueillir le long de nos chemins.
Comment survivre dans une eau trois fois plus salée que son propre sang, sans pouvoir accéder à de l’eau douce ? Les mammifères marins (mais aussi oiseaux et reptiles) ont dû mettre en place au cours des millénaires, des adaptations anatomiques et physiologiques. Et ça marche parfaitement.