
Catégorie : MÉDECINES
« Kéta », « K », « Spécial K »… les usages détournés de la kétamine prennent de l’ampleur.
L’usage détourné de la kétamine, un médicament anesthésique, comme hallucinogène s’installe dans la population, même chez les jeunes. Ce produit peut entraîner des comportements addictifs, avec toutes les conséquences que cela implique, et peut aussi conduire à des complications sévères, notamment urinaires. Il fait l’objet de suivis par des dispositifs de surveillance spécialisés.

Ozempic, Wegovy : quels risques d’usage détourné avec ces médicaments pour le diabète et l’obésité ?
Après l’antidiabétique Ozempic, la même molécule (le sémaglutide) est désormais commercialisée à plus forte dose, cette fois pour l’obésité, sous le nom Wegovy. Pour éviter les usages détournés pour maigrir hors de tout contrôle médical, les modalités de prescription sont restreintes.

L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (8)
Système parasympathique, nerf vague et substances amères.
Que vient faire cette particularité nerveuse dans cet ouvrage sur les molécules amères ? De fait, les chercheurs en neurologie et les diététiciens fonctionnent dans des mondes séparés. Hé bien dans cet article, nous allons réunir leurs savoirs …
Continuer la lecture de L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (8)L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (7)
Ces récepteurs d’amertume ont une fonction de reconnaissance gustative sur la langue, mais se retrouvent dans tout l’organisme avec des rôles spécifiques, de type nerveux ou bien immunitaires.

L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (4)
La longue histoire des récepteurs de goût; ou là encore, la fonction crée l’organe … L’organisme s’adapte en permanence à ses besoins. Par voie génique ou épigénétique…

L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (2)
La perception du goût: olfaction rétro-nasale, puis gustation via la langue et le pharynx, avec des efférences nerveuses différentes.

L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (1)
Cette saveur amère, peu appréciée spontanément, est un signal d’alerte pour l’organisme, en bouche bien sûr, mais également dans tout le corps où des récepteurs spécifiques détectent les molécules amères, et mettent en route des réactions de défense et de modulation immunitaire. Une saveur qui protège notre santé !

Depuis quelques années, les laboratoires de recherche se passionnent pour les substances amères (des centaines de molécules, essentiellement issues de plantes), leur place dans la phylogénie des végétaux, leur rôle dans la co-évolution plantes/animaux, dans notre propre historique alimentaire, enfin dans les effets bénéfiques qu’on peut en attendre.
C’est passionnant et prometteur. Je vous promets une quinzaine de billets sur ce sujet. Bienvenue dans les prémices de l’amérothérapie.
Continuer la lecture de L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (1)La musique est incrustée dans nos mémoires.
Face aux affres du vieillissement, la mémoire musicale résiste. Mélodies et thèmes musicaux s’ancrent profondément dans notre esprit, même face à des maladies neurodégénératives comme Alzheimer.

Chronobiologie: l’intensité de la douleur est contrôlée par notre horloge interne
Comme de très nombreuses fonctions de l’organisme, l’intensité de la douleur est contrôlée par l’horloge circadienne interne. Elle oscille sur 24 heures avec un pic la nuit et une baisse dans l’après-midi indépendamment de toute stimulation extérieure et du cycle veille-sommeil.
