
Catégorie : MÉDECINES
L’origine des crampes pendant un effort.
Vous avez déjà peut-être entendu dire que les crampes étaient liées à la déshydratation et que si vous voulez les éviter il suffisait de boire plus d’eau. Ce n’est pas faux, mais encore ?

Hypothèse hygiéniste: les virus, eux aussi, modulent l’organisme contre les hypersensibilités.
On a bien démontré que lors de la prime jeunesse, des infections bactériennes mettent en place une immunité solide, qui ne “dérape pas” vers des ecxès d’hypersensibilité (atopie, asthme). Les virus, eux aussi, ont un effet similaire. Exemple, les herpes virus et l’asthme.

Ces champignons qui bleuissent quand on les malmène
Certains champignons ont une propriété étonnante : ils bleuissent lorsqu’ils subissent des dommages physiques. Quel est le mécanisme responsable de ce bleuissement ? Quels sont les pigments bleus ainsi produits ?

est exposée à l’air.
Du gaz hilarant pour soigner la dépression ?
Connu des médecins comme anesthésique et analgésique mais également des jeunes pour ses effets euphorisants, le protoxyde d’azote, aussi appelé « gaz hilarant », pourrait transformer la façon de traiter la dépression, notamment pour certains patients résistants aux antidépresseurs usuels.

Le cervelet, son rôle surprenant sur les émotions et les sentiments.
Ce “petit cerveau” contient de fait les trois quarts des neurones du cerveau. On lui donnait un rôle modeste de régulateur de nos mouvements. Son activité est en fait bien plus générale.

Les gelules de placenta, une autothérapie encouragée par les “influenceuses” du web.
Consommer son propre placenta après un accouchement, c’est une pratique très ancienne, proscrite par la Médecine académique. Aux USA, avec l'”effet Kardashian”, c’est devenu une méthode de soins.

Ivermectine et antibiotiques.
L’ivermectine est connue d’abord comme antiparasitaire. Active sur plus de 300 parasites, la complexité de sa molécule fait qu’elle semble active aussi dans d’autres pathologies des plus variées.

Les masques, nouveaux déchets plastiques de l’ère post COVID
Les consignes de lutte contre la COVID-19 ont entrainé une forte augmentation de l’usage des masques[1] constitués à 90% de polypropylène (PP). Les défaillances des procédures de leur collecte et le manque de civilité de certains consommateurs ont facilité la dispersion des masques dans l’environnement;

Ces mycoplasmes, qui font tousser les enfants.
Depuis cet automne, les admissions aux urgences d’enfants et de jeunes adultes victimes de pneumonies sont anormalement élevées. La bactérie Mycoplasma pneumoniae est soupçonnée de jouer un rôle non négligeable dans cette situation.
Article du Dr Cécile Bébéar, du CHU de Bordeaux.
