La perception du goût: olfaction rétro-nasale, puis gustation via la langue et le pharynx, avec des efférences nerveuses différentes.

La perception du goût: olfaction rétro-nasale, puis gustation via la langue et le pharynx, avec des efférences nerveuses différentes.
Cette saveur amère, peu appréciée spontanément, est un signal d’alerte pour l’organisme, en bouche bien sûr, mais également dans tout le corps où des récepteurs spécifiques détectent les molécules amères, et mettent en route des réactions de défense et de modulation immunitaire. Une saveur qui protège notre santé !
Depuis quelques années, les laboratoires de recherche se passionnent pour les substances amères (des centaines de molécules, essentiellement issues de plantes), leur place dans la phylogénie des végétaux, leur rôle dans la co-évolution plantes/animaux, dans notre propre historique alimentaire, enfin dans les effets bénéfiques qu’on peut en attendre.
C’est passionnant et prometteur. Je vous promets une quinzaine de billets sur ce sujet. Bienvenue dans les prémices de l’amérothérapie.
Continuer la lecture de L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (1)Avec le progrès, on note une incroyable augmentation de l’efficacité de pêche que les gestionnaires ont du mal à contrôler et qui s’est soldé par ce qui est appelé la surpêche.
Des récepteurs du goût et de l’odorat situés dans des organes inattendus surveillent l’état de santé microbienne naturelle du corps et déclenchent l’alarme en cas d’invasion de parasites.
Notre bouche est l’un des habitats les plus diversifiés de notre corps : elle abrite plus de 700 espèces de bactéries, sans compter des levures, des virus et un certain nombre de protozoaires.c’est le microbiote buccal qui, comme le microbiote intestinal, peut influer sur notre santé.
Quels sont les processus en œuvre à l’origine d’un dépôt, qu’il s’agisse de sable ou de galets ?
Votre microbiote intestinal intéresse la Science. Seriez vous volontaire, parmi des milliers de français, pour faire un don de selles ?
Rhinites, conjonctivites, voire crises d’asthme… Le pollen de l’ambroisie à feuilles d’armoise – dont le pic de libération se situe généralement à la mi-août – est hautement allergisant, et provoque des symptômes souvent aigus. Et l’évolution climatique ne va rien arranger.
Malgré des ressources nutritives globalement limitées, la surface des océans est peuplée d’une diversité incroyable de microorganismes pourtant a priori en compétition. C’est le paradoxe du plancton
Les oiseaux marins sont fortement exposés aux polluants organiques persistants (POPs) via leur alimentation et les stockent dans leurs tissus. Lors des phases de jeûne, ces polluants peuvent être remobilisés dans le sang, pouvant ainsi provoquer des effets toxiques.
Continuer la lecture de Les polluants de type PopS, stockés dans les tissus adipeux, réapparaissent dans l’organisme lors d’un jeûne.