Actuellement les effets des polluants chimiques sur le microbiote humain restent peu connus car l’étude du microbiote est relativement récente, tout comme celle, des polluants chimiques. Raisons de plus pour faire le point.

Actuellement les effets des polluants chimiques sur le microbiote humain restent peu connus car l’étude du microbiote est relativement récente, tout comme celle, des polluants chimiques. Raisons de plus pour faire le point.
Haricots rouges, flageolets, lentilles, pois cassés, pois chiches… les légumineuses forment une famille de plantes aux déclinaisons aussi comestibles que multiples. Avec des bienfaits “santé” indéniables, tant pour nous autres que pour l’environnement.
(1) VISION QUANTIQUE DE L’EAU ET DE LA VIE CELLULAIRE
Un modèle physique pour comprendre le fonctionnement de l’homéopathie et de la médecine vibratoire
Le WE du 3-4 février 2024 (16h) en présentiel à St Victor et Mathieu -Aveyron
Cadavérine, putrescéine, scatole, autant de molécules à l’odeur épouvantable produites par les tissus en décomposition et par les bactéries qui s’en gobergent. Ignorées, méprisées, maudites, ces molécules ont pourtant des vertus qu’on découvre.
Elles sont partout à Paris : au Jardin des plantes, au bois de Vincennes, aux Buttes-Chaumont, au cimetière du Père-Lachaise… Les perruches à collier colonisent la capitale et la région parisienne et ce, depuis plusieurs années. Et pourtant sans inconvénients pour les autres espèces …
Le mâle n’est pas transgenre, mais c’est en lui que les ovules introduits par la femelle (sa femelle, pas une autre!) se développent en embryons, puis en alevins. Et ça marche très bien …
A force de pomper toujours plus profond pour des besoins en eau toujours croissant, les sols craquellent dans des proportions impressionnantes. Sans solutions réelles pour s’y opposer.
Des chercheurs ont découvert un gisement potentiel d’hydrogène naturel dans le bassin houiller lorrain… Lequel pourrait être le plus gros réservoir mondial de ce gaz !
Le niveau des nappes phréatiques est un problème récurrent depuis quelques années en France où l’on constate une baisse notable des niveaux par rapport à la moyenne des relevés des dernières décennies. Par quels phénomènes, et comment réagir ?
Notre peau est bien sûr la barrière physique de notre corps, mais c’est aussi une usine biologique, très active, et sensible aux brûlures du soleil. A court terme (le “coup de soleil”); mais aussi sur le long terme, et parfois gravement.