Ce sont généralement des circonstances accidentelles (déchets de beuveries humaines, fermentations de fruits) qui entrainent des comportements d’ivresse, mais parfois les animaux ne demandent qu’à y revenir ….

Ce sont généralement des circonstances accidentelles (déchets de beuveries humaines, fermentations de fruits) qui entrainent des comportements d’ivresse, mais parfois les animaux ne demandent qu’à y revenir ….
Après avoir identifié nos hôtes microscopiques (microbiotes), nous savons désormais (microbiome) les quantifier et en mesurer l’évolution, tant chez des malades que chez les personnes en bonne santé. Hé bien oui, nos compagnons de vie sont de première importance.
S’ils s’accumulent dans les mers et océans, les micro-plastiques sont drainés en amont via les rivières et les grands lacs. Ils constituent un risque majeur pour les organismes vivants de tous les écosystèmes hydriques.
À la fin des années 1980, le baron de la drogue colombien Pablo Escobar a importé plusieurs hippopotames dans son ranch Hacienda Napoles, situé à environ 200 km de Bogota, le long de la rivière Magdalena. Maintenant, ils sont devenus un problème car ils ne cessent de se multiplier et n’ont pas de prédateurs naturels.
Disponible, économique, naturelle, la propolis est une “préparation” des abeilles pour protéger l’essaim dans la ruche. Mélange des résines protectrices des bourgeons végétaux, avec les enzymes de l’abeille, la propolis est pleine de ressources pour notre santé. Ici, les effets anti-inflammatoires et anti-infectieux.
Une activité immunitaire observée très récemment: la nétose. Les leucocytes (globules blancs de première ligne) étendent autour d’eux des filaments de chromatine qui emberlificotent tout ce qui traîne autour d’eux: bactéries, plaquettes, protéines circulantes.
Le réchauffement anthropique est le paradigme actuel, qui nous engage dans une coûteuse révolution énergétique et sociale. Pourtant, ce même réchauffement contemporain touche également les autre planètes de notre système solaire, alors que le soleil, lui, ne s’emballe pas. Il y a là une vraie question. Que commente ici Dimitri Orlov.
Les forêts tropicales sont un enjeu économique de type prédation: “On” peut les détrousser de leurs essences rares , puis tout abattre pour installer une agriculture productiviste. Et envoyer les habitants dans des bidonvilles. Et pourtant …
La monoculture des céréales est source d’appauvrissement des sols et de graves sensibilités aux parasites. De vieilles méthodes de cultures aux variétés associées montre le bienfondé de la diversité.
Il était convenu que le pelage des zêbres (les zébrures) constituait un avantage conservé par sélection naturelle . Quel avantage? On a évoqué un certain camouflage dans la savane, ou bien une moindre attaque par les mouches. Et si on “zébrait” des vaches, quel serait le résultat ?