Les études toxicologiques classiques s’appuient sur la prise de substances douteuses, à doses diverses, avec observation des effets biologiques. Mais on peut aussi observer les incidences d’une alimentation bio, versus alimentation “normale”… Sur des perdrix, les résultats sont quasi immédiats… le Bio est un réel facteur de santé.
Les bactéries sont partout autour de nous, mais aussi dans notre intérieur (poumons, intestins …) . La biologie pastorienne les a identifiées, pour mieux les contrôler sur un plan médical, mieux les asservir pour des processus bio-industriels. Mais après un siècle de belligérance, on s’aperçoit que “l’adversaire” est le plus souvent un partenaire, et qu’il existe dans son milieu naturel, de manière totalement différente que dans nos cultures de laboratoires. Avec de telles erreurs de jugement, il n’est pas étonnant d’assister à des échecs thérapeutiques ou technologiques, en particulier lorsque les bactéries s’organisent en commun pour créer des biofilms.
L’eau de ballast est de l’eau stockée dans la coque d’un navire pour assurer la stabilité et améliorer la maniabilité pendant un voyage. Lorsque le navire atteint sa destination, le ballast est vidé dans l’eau du nouveau port, avec son lot d’invités indésirables sous forme de bactéries, virus, algues, petits invertébrés, œufs ou larves de diverses espèces qui ont fait du blablaboat… et peuvent devenir des espèces envahissantes.
Notre santé actuelle paie très cher l’utilisation de ce faux sucre, un sous-produit d’une agriculture intensive de Big Agro (engrais, eau, OGM, pesticides… et subventions sans fins) que Big Nutri (vous connaissez les marques) incorpore dans les assiettes, au bénéfice en commun de Big Pharma qui « soigne » les diabètes, cardiopathies et autres cancers. Si vous cherchez bien, ce sont bien souvent les mêmes actionnaires…
Jusqu’ici, les résidus de brasserie (ce qui reste de l’orge après fermentation), étaient fort peu valorisés, essentiellement vers l’alimentation animale de peu de valeur nutritive. Mais désormais, on peut en consommer, c’est un bonne action environnementale …de la “récup’ alimentaire!
La Nature n’est pas avare en substances dommageables pour des organismes biotiques. Mais ceci dans un cadre d’équilibre naturel, structuré par des millions d’années d’évolution du Vivant. Et puis l’Homme est arrivé, chimiste chevronné, inventeur de milliers de molécules synthétiques inconnues de nos organismes. Notre petite bulle appelée Terre en est désormais saturée, leurs effets s’observent à tous les niveaux.