Ce nouveau type de sol créé par des ingénieurs de l’Université du Texas, peut extraire l’eau de l’air et la distribuer aux plantes, ce qui peut ouvrir à l’agriculture des zones jusqu’ici déshéritées.
Les liaisons hydrogène sont des liens intermoléculaires dont les atomes constitutifs respectent une certaine directionnalité. Dans un réseau de ponts H, leur architecture est donc très optimisée. Cette propriété des ponts H permet à l’eau de cristalliser de façon définie pour se changer en glace. Les conditions de refroidissement affectent la géométrie du réseau cristallin de la glace.
Pour décortiquer les savoirs actuels sur la physique quantique et ses applications en médecine, nous voilà partis pour une douzaine d’articles à paraître sur deux mois, certains en libre lecture, d’autres réservés aux abonné(e)s.
La physique quantique introduit une logique trinaire: on échappe au rigoureux “vrai ou faux” pour voir apparaître le “possible”.
En deçà
(et au delà …) du monde matériel et mesurable, base de notre biologie
moléculaire, les physiciens appréhendent un monde vibratoire chargé d’énergie
et d’informations, qui justement refuse d’être mesuré, sous peine de se
transformer aussitôt en substance matérielle figée sous le nez de
l’observateur.
Un peu
comme si l’eau d’un nuage ou d’un torrent se transformait en glace chaque fois
qu’on veut l’étudier … Et pourtant elle vole, et pourtant elle coule !
Toutes
ces avancées désormais glanées par les physiciens, doivent d’urgence être
intégrées à la biologie et à la médecine, afin d’en contourner les pesanteurs
et les blocages actuels.
La
“médecine quantique” est devenue une tarte à la crême qui attire lecteurs et
curieux, dans laquelle on peut glisser bien des ingrédients gentiment
ésotériques, doctement théologiques ou bien purement mercantiles. C’est facile,
puisque actuellement tout le monde s’y perd …
D’où cette série d’articles qui se veut repère indépendant de nos connaissances et des interprétations qui s’y rattachent.
Premier article: erreurs et contraintes de la méthode scientifique conventionnelle.
Elle consomme, elle pollue, elle disperse les germes … Oui, mais elle nous rafraîchit. Peut-on s’en passer ?
Le fluide le plus adapté pour “apporter du frais”, c’est l’eau: gratuite, saine, renouvelable … C’est d’ailleurs le vecteur utilisé dans les clims classiques. Avec beaucoup d’énergie derrière.
Mais cette eau, on peut l’employer autrement:
Par exemple via cette accumulation de tuyaux en terre cuite, qu’on place dans le lieu à climatiser au dessus d’un bassin qui va à la fois récupérer l’eau, et servir de mobilier de décoration.
“Tout est vibration”. Du photon au spin des électrons. Bon, mais comment s’organise la correspondance entre ces vibrations et la matière qui nous constitue?
Bien des théories ont été proposées, le plus souvent des constructions de l’esprit. Voici la théorie du Vortex, selon Jean Dragonera, inspirée par les travaux de Schauberger.
” La Science ne donne accès qu’aux apparences ”
Bernard d’Espagnat (ancien Directeur du Laboratoire de Physique Théorique d’Orsay).
Dès qu’on parle biochimie, on ne peut qu’évoquer l’eau comme constituant, vecteur et organisateur primordial de tout le vivant. N’oublions pas que si nous sommes globalement composés à 70% d’eau en terme de masse, ce chiffre atteint 99% en nombre de molécules: une seule molécule sur cent n’est pas de l’eau! Et l’on va bien sûr retrouver l’eau à la fois sous sa forme de matière, sous son aspect énergétique, et (grands mystères de l’eau depuis toujours!) dans ses capacités informatives à la fois locales, mais aussi globales.
Le nostoc, une algue verte, met en route dans l’eau l’ère des organismes pluricellulaires.