Les anciens peuples autochtones d’Amazonie ont domestiqué le manioc. Ils ont développé des stratégies complexes pour rendre comestible cette plante résistante aux ravageurs et à fort potentiel nutritif mais qui, naturellement, libère du cyanure d’hydrogène et d’autres molécules toxiques.
Un panier d’osier, rempli de tubercules de manioc et contenant une machette, attaché avec une corde à l’arrière-plan d’une hutte traditionnelle. Erremmo.com/Shutterstock