Cela fait bientôt un an: une étude animale de l’Institut Pasteur montrait des effets thérapeutiques tangibles. Et pourtant, ce remède est toujours laissé aux oubliettes …
« De manière surprenante, nous avons observé que le traitement à l’ivermectine n’a pas limité la réplication virale, les modèles traités et non traités présentaient des quantités similaires de charge virale dans la cavité nasale et dans les poumons. Nos résultats révèlent que l’ivermectine possède un effet immunomodulateur et non antiviral. Notre étude apporte des données précliniques qui démontrent scientifiquement une action protectrice de l’ivermectine pendant l’infection par le SARS-CoV-2 dans un modèle animal. Ces données sont essentielles pour appuyer les essais cliniques chez l’homme. »
NDLR: est-ce qu’enfin, les médecins français pourront soigner leurs malades autrement qu’avec du doliprane ou des anticorps monoclonaux spike ruineux et inefficaces?