Les effets bénéfiques de la lumière solaire ont été mis en pratique dans les années 50°, surtout au profit des tuberculeux. Un médecin roumain, Jean Saidman, a conçu et réalisé un solarium-manège efficace, mais onéreux ...

Les effets bénéfiques de la lumière solaire ont été mis en pratique dans les années 50°, surtout au profit des tuberculeux. Un médecin roumain, Jean Saidman, a conçu et réalisé un solarium-manège efficace, mais onéreux ...
Si le miel et la gelée royale sont les deux produits de la ruche les plus ancrés dans nos esprits, nos vaillantes abeilles ont plus d’un tour dans leur jabot et leurs alvéoles … Elles savent en particulier préparer un aliment à la fois roboratif, énergétique, digeste, à base de miel et de pollen fermenté : c’est le pain d’abeilles.
On a “démoustiqué” la France en plusieurs étapes, d’abord dans les Landes au XIXème siècle, puis sur la côte méditerranéenne (Camargue, étangs du Languedoc) dans les années 60. Puis on les a oubliés, ces moustiques, jusqu’à maintenant où d’une part de nouvelles conditions climatiques leur font la part belle, d’autre part ils servent de vecteurs à des maladies nouvelles et très difficiles à soigner.
Une équipe de scientifiques de l’Université Purdue a créé un patch micro-aiguille qui peut fournir de l’oxygène et des agents bactéricides aux plaies chroniques.
Dans son rôle magnifique du Dr Knock, Louis Jouvet a institué cette expression pseudo médicale : « ça vous chatouille, ou ça vous gratouille ? ».Ces deux sensations anodines devenaient des symptômes terrifiants. La chatouille serait plutôt agréable, mais comment l’expliquer ?
(article précédent: quant vous prend la gratouille”)
Dans son rôle magnifique du Dr Knock, Louis Jouvet a institué cette expression pseudo médicale : « ça vous chatouille, ou ça vous gratouille ? ».Ces deux sensations anodines devenaient des symptômes terrifiants qui mettaient le patient sous la coupe du médicastre véreux. Mais la gratouille, comme la chatouille, comment ça se soigne ?
Les nudibranches forment un groupe de « limaces de mer », c’est-à-dire de gastéropodes marins dépourvus de coquille.Sur le dos, l’animal peut porter soit un panache branchial, soit des excroissances tégumentaires, les papilles ou cérates (aéolidiens), qui servent de branchies et dans lesquelles se trouvent les prolongements de la glande digestive.
Continuer la lecture de Des gastéropodes tout nus: les nudibranches.Horaires éclatés, déferlement des écrans, célibat et monoparentisme, sur-urbanisation, nomadisme, atrophie des surfaces habitables, disponibilité de livraisons immédiates, nouveaux « matériaux » culinaires… autant de facteurs sociologiques ou technologiques qui influencent à toute vitesse notre mode de vie alimentaire… et au passage notre santé.
Les plantes sauvages, qui poussent “comme elles peuvent”, présentent des profils moléculaires originaux, et peuvent agir comme de véritables remèdes, faciles à intégrer dans notre alimentation. En tête, l’ortie, le pissenlit, le pourpier, l’épilobe, en tout une vingtaine d’amies à mieux connaître … et à cueillir le long de nos chemins.
Comment comprendre que ces plantes sauvages présentent des compositions minérales très éloignées du substrat de leur sol ? Il faut alors suivre les travaux de Louis Kervran, et envisager des transmutations (ou synthèses) biologiques.
Cet article prend la suite du précédent: leçon de diététique appliquée aux plantes sauvages.
Continuer la lecture de Intérêt nutritionnel des plantes sauvages #2: les transmutations biologiques.