L’épigénétique, cette nouvelle manière de comprendre la Vie et son évolution, met en jeu cette quincaillerie nucléique moquée, car incomprise, et raillée sous le nom d’ADN poubelle. Il faut revoir tout ça …

L’épigénétique, cette nouvelle manière de comprendre la Vie et son évolution, met en jeu cette quincaillerie nucléique moquée, car incomprise, et raillée sous le nom d’ADN poubelle. Il faut revoir tout ça …
Le rire est une énigme scientifique, d’autant qu’il y a toutes sortes de rires, correspondant à des critères qu’on ira jusqu’à encadrer par la morale (“on peut rire de tout, mais pas avec n’importe qui”…). Nous détaillons ici le point de vue d’un neurobiologiste.
Comment survivre dans une eau trois fois plus salée que son propre sang, sans pouvoir accéder à de l’eau douce ? Les mammifères marins (mais aussi oiseaux et reptiles) ont dû mettre en place au cours des millénaires, des adaptations anatomiques et physiologiques. Et ça marche parfaitement.
Les fascias, alias sous-muqueuses, sont encore considérés comme un tissu accessoire, qui « tend les organes », leur donne une forme et accessoirement, les nourrit et les purge des impuretés accumulées. Des chercheurs en ont fait récemment un graal médical, la découverte d’un « nouvel organe » qu’il ont nommé interstitium. Qu’est ce qui est nouveau, et est-ce bien un organe à part entière ?
Sur plusieurs critères majeurs, l’emploi de vélos cargos pour le “dernier kilomètre” de livraison l’emporte sur tout autre véhicule, même électrique.
L’organisme possède un système mémoire pour se protéger à long terme des intrus (bactéries, virus) qu’il juge dangereux. Ce sont les lymphocytes mémoire. Mais quand cette mémoire devient une idée fixe, le système immunitaire ne joue plus son rôle. Et c’est là la malédiction des vaccins.
On connait la notion d’eau virtuelle : c’est la valeur en eau d’un produit, c’est à dire la quantité d’eau qu’il a fallu consommer pour le fabriquer. La nuit virtuelle, c’est la quantité de temps d’activité nocturne dévolue à une prestation dans notre monde globalisé.
Le sommeil est-il un phénomène purement neurologique ? Chez nous les humains, on considère que c’est le système nerveux, essentiellement l’encéphale, qui mène le jeu. Et pourtant, les espèces animales primitives, sans aucun cerveau, présentent un repos métabolique séquencé, une sorte de sommeil. Intéressant ?
On pourrait résumer cette grave réalité par un aphorisme teinté d’ironie :« Le jour, on soigne les maladies, la nuit, on soigne les malades ».
Depuis toujours considérée comme un domaine spatio-temporel plein d’écueils, réservé à des activités douteuses, voire maléfiques, la nuit est désormais un continent vierge à coloniser pour toutes sortes d’activités économiques, qui se développent sans tenir compte de réalités biologiques primordiales.