Dans le règne animal. La distanciation sociale se produit non seulement chez les espèces qui mènent toujours des vies solitaires, et s’évitent ainsi même lorsque personne n’est malade, mais aussi chez certaines espèces sociales lorsque les circonstances l’exigent.
Des fourmis aux abeilles en passant par les souris, les singes et les chauve-souris, un éventail d’animaux sociaux modifient leur comportement pour réduire le risque de propagation des infections. Beaucoup utilisent des stratégies qui ne fonctionneraient pas pour les humains, mais elles illustrent toujours pourquoi nous isoler lors d’une épidémie n’est pas aussi naturel que cela puisse paraître.
Toute la chimie repose sur les échanges ou les mises en commun d’électrons entre les atomes pour former des molécules biologiquement actives. Comme le photon, c’est une entité difficile à apprécier dans le temps comme dans l’espace.
Nuage électronique de l’atome d’hydrogène H
Au sein de la matière, il est une onde-particule qui ressemble bigrement au photon, c’est l’électron. Situé en périphérie des noyaux atomiques, lui aussi n’existe que sous forme d’onde à la présence aléatoire, à la position toute statistique, mais il apparaît spontanément au moment de sa détection. Et dès lors, il devient docile, se laisse localiser, mesurer, et accepte même d’être apprivoisé pour des usages propres à l’homme.
Le photon est en fait très mal nommé. On lui a gardé son nom de particule, de “grain de lumière”, nous dirons sa polarité “yang”, alors qu’il n’est qu’exceptionnellement sous cette forme. Uniquement pour flatter nos sens !
Que ce soit par intuition ou bien selon une réflexion, tous les hommes avant nous ont affirmé que notre monde est né de la lumière. Et cela sans synchrotron ni satellite d’observation … Quant à nous, plus notre savoir augmente, et plus nous pouvons intégrer cette idée.
Cette
lumière est impalpable, omniprésente, et il va falloir de sacrées
circonvolutions de la pensée pour la faire aboutir à de la matière palpable et
localisée.
Surtout
lorsque, de l’aveu même de nos chercheurs de pointe, nos moyens d’observations
“passent à coté” de 73 à 90% de la matière existante. Existante, car néanmoins
mesurable en astrophysique pour caractériser les galaxies et l’évolution de
l’univers. Mais pas du tout mesurable dans le microcosme, à l’échelle nano …
Comme chez l’homme, la prévalence du cancer chez les carnivores domestiques a augmenté ces dernières années et l’oncologie vétérinaire se développe de plus en plus face à la demande de soins des propriétaires.
L’objectif de la chimiothérapie conventionnelle est de détruire un maximum de cellules cancéreuses à chaque séance, tout en permettant aux tissus sains de se régénérer entre deux séances. Cette période de repos dure en moyenne 3 semaines.
La chimiothérapie métronomique utilise quant à elle, les mêmes agents cytotoxiques mais Per Os à faible dose et plus fréquemment, à des intervalles variant d’une journée à une semaine. Son objectif principal est de cibler le microenvironnement tumoral essentiel à la survie de la tumeur. Les cellules tumorales sont alors atteintes de manière indirecte.
On est assez désemparés par l’avalanche d’informations souvent contradictoires et faussées par des intérêts catégoriels ou économiques . Le tableau ci-dessous me semble bien construit et rassemble à ce jour (le 10 juin…) l’ensemble des savoirs utiles.
Pour décortiquer les savoirs actuels sur la physique quantique et ses applications en médecine, nous voilà partis pour une douzaine d’articles à paraître sur deux mois, certains en libre lecture, d’autres réservés aux abonné(e)s.
La physique quantique introduit une logique trinaire: on échappe au rigoureux “vrai ou faux” pour voir apparaître le “possible”.
En deçà
(et au delà …) du monde matériel et mesurable, base de notre biologie
moléculaire, les physiciens appréhendent un monde vibratoire chargé d’énergie
et d’informations, qui justement refuse d’être mesuré, sous peine de se
transformer aussitôt en substance matérielle figée sous le nez de
l’observateur.
Un peu
comme si l’eau d’un nuage ou d’un torrent se transformait en glace chaque fois
qu’on veut l’étudier … Et pourtant elle vole, et pourtant elle coule !
Toutes
ces avancées désormais glanées par les physiciens, doivent d’urgence être
intégrées à la biologie et à la médecine, afin d’en contourner les pesanteurs
et les blocages actuels.
La
“médecine quantique” est devenue une tarte à la crême qui attire lecteurs et
curieux, dans laquelle on peut glisser bien des ingrédients gentiment
ésotériques, doctement théologiques ou bien purement mercantiles. C’est facile,
puisque actuellement tout le monde s’y perd …
D’où cette série d’articles qui se veut repère indépendant de nos connaissances et des interprétations qui s’y rattachent.
Premier article: erreurs et contraintes de la méthode scientifique conventionnelle.
A part les “césariennes de confort”, les actes thérapeutiques d’urgence sont dues à un manque d’oxygénation du bébé qui entraine une atonie utérine et un arrêt du travail d’accouchement. Le Viagra est un puissant vasodilatateur pelvien, qui permet d’irriguer ici, non pas un pénis défaillant, mais un foetus en stress. A manier avec précaution.
La césarienne (ouverture de l’abdomen pour en extraire le
nouveau né) est une opération pratiquée depuis la nuit des temps. Sauf qu’avant
l’utilisation des anesthésiques, la mère était systématiquement
sacrifiée : selon l’Eglise, la priorité était le baptême du nouveau-né, la
mission sur terre de la maman s’en arrêtant là.
Les progrès ont eu lieu en trois temps :
amélioration de l’asepsie
utilisation des anesthésiques
arrivée des antibiotiques.
La sécurité est désormais assurée, mais pourquoi autant de césariennes (de 15 à 40% selon les maternités…)?
Il y a les césariennes de confort. Confort de la maman, mais aussi confort du médecin … Et puis il y a les césariennes d’urgence, dues à une anoxie imprévue du foetus. Le viagra se présente comme une solution.
L’immunologie n’est plus la filiale vaccinale de l’infectiologie. Le système immunitaire est maintenant observé et compris dans un ensemble physiologique qui regroupe les systèmes nerveux, sanguins, et hormonaux. Et qui prend en compte des affections non infectieuses, comme les cancers, les maladies dégénératives, ou les troubles endocriniens.
Et maintenant ?
Nous avons vu au cours des 5 articles précédents comment l’immunologie est passée du rang de bricolage vaccinatoire à une place prépondérante du savoir médical.