Le ton monte chez les écologistes … qui en sont à se rapprocher des chasseurs! Le chat, dès qu’il est en liberté dehors, est un prédateur de dizaines d’espèces animales. Alors que faire ?
Jusque là, tout va bien …
Le problème a été d’abord soulevé en Australie, où des millions de chats harets (devenus sauvages) constituent une population jugée néfaste: un danger pour les koalas, mais aussi pour plus de 500 espèces natives (reptiles, oiseaux et mammifères, au total 230 millions de victimes chaque année.
Engoncée dans son rôle historique de « science de la défense contre les micro-organismes”, l’immunologie voit son modèle totalement transformé à l’aune de nombreux travaux et découvertes, mais surtout de chercheurs « qui osent » sortir de la référence pastorienne.
Dossier en six articles à paraître courant mai:
1 – l’immunologie est née de la bactériologie
2 – retour vers la cellule : on comprend la « réaction immunitaire »
3 – avec les années 90 et le SIDA, retour vers l’immuno-infectiologie.
4 – quelle place pour nos bactéries intégrées ?
5 – la théorie de la continuité / discontinuité
6 – Et maintenant ?
“un germe, une maladie, un vaccin“, c’est le credo de l’immunologie pasteurienne.
Premier article : l’immunologie est née
de la bactériologie
C’est avec plaisir que nous voyons actuellement apparaître
dans la presse scientifique des réflexions et des voies de recherches… que nous
avons mis en avant dans « Effervesciences » depuis plus de quinze ans
…
Décortiquer les chaines enzymatiques de la photosynthèse et les réorganiser à partir d’éléments de synthèse: une équipe de Bordeaux a créé des pseudo cellules végétales possédant des chloroplastes artificiels.
Ces organelles verdâtres sont des pseudo chloroplastes au sein de gouttelettes: on approche de la cellule de synthèse.
Un phénomène naturel qu’on peut contrôler par une diététique simple et peu contraignante
Fonte de la masse musculaire et au mieux, son remplacement par du conjonctif graisseux: c’est la sarcopénie.
On appelle très doctement sarcopénie cette fonte musculaire
des seniors, au cours d’un processus qui s’emballe, mais qu’on pourrait
corriger, mais il faudrait alors modifier tous les principes diététiques actuellement
appliqués, par incompétence, négligence ou parcimonie.
La Nature est économe. Et elle développe mille astuces pour fonctionner avec la meilleure efficacité et les moyens les plus modestes. Des thermiciens américains pensent avoir découvert pour nos centrales le secret des poissons des mers froides.
La “maladie du soda”, ça parle mieux que la “stéatohépatite non alcoolique”. Mais c’est tout aussi fumeux!
On a appris l’existence de cette maladie lorsqu’elle a touché Pierre Ménès, célèbre journaliste footbalistique, qui on s’en doute depuis, buvait beaucoup de sodas …
La NASH est la forme la plus sévère de la surcharge du foie en lipides, la stéatose hépatique. Cette stéatose hépatique est très courante et elle accompagne des maladies comme le diabète ou le syndrôme métabolique. La cause est bien connue: malbouffe, grignotage, excés permanent de sucres, en particulier du fructose caché dans les plats industriels. De fait, cette stéatose touche la majorité des obèses.
Si l’inflammation du foie est absente ou minime dans la banale stéatose hépatique, en cas de NASH, une inflammation chronique plus importante peut conduire à la cirrhose, c’est à dire à la destruction du foie.
Ce schéma passe actuellement en boucle dans les médias américains.
Pourtant, en France tout du moins, si la stéatose hépatique est banale, les décès liés à une cirrhose consécutive à une NASH sont si rares qu’ils ne sont pas individualisés dans les causes de décès recensées par l’INSERM.
Depuis la méduse jusqu’aux petits génies humains, comment un simple assemblage de neurones s’est transformé en un complexe auto-régulé aux ressources infinies.
La “mémoire” des organismes très primitifs (type méduse) est en fait un arc réflexe. Des circuits de quelques cellules spécialisées, plus excitables et plus ramifiées, qui relient des récepteurs (cellules ciliées) à des cellules réactives (musculaires ou toxiques).
Les ocelles (“yeux”) suivent le pourtour de la corolle, tout comme les cellules sensibles (futurs neurones)
L’évolution du “système nerveux” a été marqué par une multiplication des cellules sensorielles (oculaires, gustatives, tactiles, chimiques, électriques) et une densification des désormais neurones dans la partie céphalique où se trouve également la bouche et les ocelles .
Stress, maladie ou vieillesse … autant de causes de dysfonctionnements. La cellule doit décider elle même si elle est réparable ou si elle doit tirer sa révérence.
En cas de
désordres sévères dans une cellule (intrusion virale, accumulations toxiques),
le premier réflexe cellulaire est de tenter de réparer les molécules
lésées. C’est le rôle des protéines chaperon (HSP) qui regroupent les fragments
moléculaires et les enserrent comme un presse-livre afin de les
reconstituer.
En cas d’échec
(critères mal compris actuellement), ces déchets décidément inutiles,
voire dangereux, peuvent avoir deux destinées :
Nous avons évoqué quelques exemples historiques d’actions biologiques qui ne sont pas anodines, puisque utilisant des substances toutes pathogènes. Mais à petites doses et selon des protocoles différents (de la dose vaccinale unique, type fièvre jaune, aux prises répétitives et croissantes de la désensibilisation), on va solliciter l’organisme dans sa capacité naturelle d’autorégulation.
La chaleur, le froid, des mini stress physiques très efficaces
Celle-ci repose sur des effecteurs très différents, depuis les lymphocytes du système immunitaire, jusqu’aux systèmes régulateurs de l’excrétion, de la circulation, ou de l’expression hormonale… en gros, l’organisme fonctionne selon divers schémas très complexes, qui sont coordonnés pour conserver un équilibre physiologique: c’est l’homéostasie.
Jusqu’où pousser le stress pour fortifier l’organisme?
Série de trois articles:
Premier article , l’hormésis, qu’est ce que c’est ?
Schéma bodyssime.com
Le
phénomène est connu depuis des siècles: des agressions de faible intensité
(chaleur, froid, douleur, jeûne, dessication, etc …) peuvent provoquer des
effets bénéfiques sur notre organisme, en induisant une réaction de
surcompensation après une phase de déséquilibre.
Des
études récentes sur les végétaux, les drosophiles ou les rongeurs viennent
corroborer les observations séculaires nous concernant. Mais ces effets seront
très différents selon l’intensité, la durée du stress provoqué, ainsi que selon
l’âge du sujet.