L’idée n’est pas nouvelle, mais les technologies actuelles permettent d’envisager la pose, dépose et exploitation des panneaux de manière automatique. Et au plus près des réseaux électriques existants.
Qui achète actuellement une voiture électrique ? Essentiellement des gens plutôt à l’aise financièrement, qui profitent des aides multiples destinées à “sauver la planète”. Dans un deuxième temps, on va les imposer (sans aide et avec un coût énergétique important) à tout un chacun. Avec des coûts supplémentaires parfois inattendus …
L’énergie osmotique désigne l’énergie exploitable à partir de la différence de salinité entre l’eau de mer et l’eau douce, les deux natures d’eau étant séparées par une membrane semi-perméable. Elle consiste à utiliser une hauteur d’eau ou une pression créée par la migration de molécules d’eau à travers la membrane. La pression d’eau en résultant assure un débit qui peut alors être turbiné pour produire de l’électricité.
Le réchauffement anthropique est le paradigme actuel, qui nous engage dans une coûteuse révolution énergétique et sociale. Pourtant, ce même réchauffement contemporain touche également les autre planètes de notre système solaire, alors que le soleil, lui, ne s’emballe pas. Il y a là une vraie question. Que commente ici Dimitri Orlov.
On a mis au rancard les autorails sur les voies ferrées régionales, voire locales. Remplacées par des lignes d’autobus. Mais les rails sont toujours en place, et les technologies ont bien évolué… On peut repenser au rail, et Draisy pourrait être la solution.
De nombreux inventeurs ont planché sur des modèles d’ailes ou d’hélices particulières puisque annulaires. Malgré des promesses théoriques, les résultats pratiques sont décevants.
Ou comment induire au sol l’information et la capacité “il faut que ça pousse” et créer un mini cycle de l’eau … Tout ça en 5 mois !
Les éoliennes, ce n’est pas nouveau: après la disparition des moulins à vent, les petites éoliennes ont fleuri dans le monde entier, sous diverses techniques. En voici une proposition, qui n’ a pas fait florès, mais qui mérite quelque réflexion …
Le méthane est le second facteur atmosphérique de réchauffement, 30 fois plus puissant que le CO2. Ces deux dernières années, son taux a nettement grimpé. On fait le point.
