C’est une pratique courante, en particulier lors de soins
aux enfants, un peu rebelles aux remèdes, ou aux personnes âgées qui manquent
de salive pour déglutir : alors on « déconditionne » les pilules
en les écrasant, les gélules en les ouvrant, la poudre médicamenteuse étant
alors mélangée à l’aliment.
Une étude du CHU de Rouen fait apparaître que cette pratique entraine une inefficacité pharmacologique dans 40% des cas.
Devant l’incurie des “sachants”concernant notre épidémie, de multiples initiatives se font jour, lancées par des individus eux-mêmes sachants, mais complètement intégrés aux réalités cliniques. Et qui font apparaître des savoirs oubliés, ou encore qui font des trouvailles qui font réfléchir.
C’est le cas d’un vieux remède, le bleu de méthylène. On l’utilise encore comme désinfectant urinaire, ou en aquariophilie contre les infections cutanées des poissons. C’est aussi un médicament d’urgence pour certaines intoxications.
Ce travail de compilation très sérieux a été réalisé par une équipe de rédaction de la revue Journal of virus eradication
Ils ont fait apparaître, à partir des catalogues commerciaux des différents sous-traitants indiens, les prix de revient des différents anti-viraux actuellement testés contre le Covid-19.
Comme on le voit sur ce tableau, même les molécules réputées onéreuses, utilisées actuellement contre le Sida ou les hépatites, même ces molécules ont un prix de revient très modeste, que ce soit (colonne de droite) pour le coût journalier, ou (colonne de gauche) pour le coût total d’un traitement.
Où va la différence ? Ci-dessous un exemple de disparités… et donc de bénéfices selon les pays acheteurs.
Prenons la Guyane, le seul département français où cette vaccination BCG est obligatoire: c’est actuellement le moins touché, et en nombre de cas, et en nombre de décès.
Prenons le cas de l’Allemagne: à l’est, historiquement (la RDA), on a systématiquement vacciné ceux qui sont actuellement séniors. C’est actuellement la partie de l’Allemagne la moins touchée, et en cas, et en nombre de décès.
Les chiffres sont là, et on peut comparer des populations nombreuses, très nombreuses, vaccinées versus des populations non vaccinées, donc l’équivalent de placebos.
Ce vaccin a eu un effet protecteur pour le Covid. Au bout de combien de temps ? Sur quelles types de populations ?
Depuis le spin du photon jusqu’aux tsunamis galactiques, on
sait que la matière est un concentré d’énergie vibratoire, et bien sûr l’Homme
ne fait pas exception.
Notre vocabulaire en fait foi : « ça me fait vibrer », ou bien « je sens comme un frémissement »,
ou également « il a encore ses
palpitations »… C’est du
langage courant !
Les ostéopathes, qui poussent le ressenti corporel à son plus haut degré, nous manipulent selon des séquences qui peuvent évoquer l’univers musical. Avec un instrument emblématique: la guitare !
Les ostéopathes décrivent et agissent sur cette force de
traction médullaire (FTM) qui relie dans une même tension des organes que la
médecine traditionnelle traite séparément.
Si vous vous approchez de coureurs
à l’arrivée d’un marathon ou d’un critérium cycliste, vous sentirez toujours la
même odeur, agréable pour certains, beaucoup moins pour d’autres (cette
« odeur de dentiste » due à l’huile de girofle), celle du
« baume du tigre ». En petits pots de verre, ou bien en tubes souples
plus facile à appliquer, ce vieux remède est dans le monde entier, toujours
présent pour calmer des douleurs musculaires. Un concurrent du doliprane ou du
nurofen ?
Une hirondelle ne fait pas le printemps. Mais quand elle est attendue
par des millions, la moindre des choses serait de l’observer et de la protéger
…
L’hirondelle, c’est cette série d’expériences d’un médecin américain,
le Dr Valter Longo, prof de gérontologie en Californie, et qui vient d’en
publier les résultats dans “Science Translational Medecine”.
L’idée, c’est de vérifier l’argument des “naturalistes” , selon lesquels un organisme qui vient de subir une épreuve, est mieux armé pour en subir une autre, même plus violente.
La peau des mammifères, y compris la
nôtre, contient de nombreux récepteurs sensoriels qui leur procure une capacité à percevoir
toutes sortes d’informations d’origine externe,
mécaniques (caresse, contact, pression, choc), thermiques (froid,
chaleur), chimiques (acidité) ou vibratoires,
mais aussi d’origine interne (étirements du pelage, tension des muscles
cutanés).
Ces récepteurs sont des dendrites
(extrémités de neurones) modifiées pour percevoir un certain type
d’information, grâce à une adaptation locale (capsules de différents modèles)
du tissu conjonctif du derme.
En ces moments douloureux où le coronavirus fait vaciller nos existences, il est intéressant de se tourner vers le passé. Sars, grippe espagnole, peste ? Ici, nous détaillons une épidémie récurrente qui a touché l’Angleterre au XVème siècle …
C’est un évènement médical hors du commun, qui s’est produit en Angleterre de 1485 à 1551, à cinq reprises, et puis plus rien …
Les premières alertes commencent en 1485:
des villes entières sont frappées, selon des périmêtres extrêmement précis. Les
symptômes sont d’emblée très violents, et les premiers morts se déclarent au
deuxième jour.
Les malades se plaignent de maux de tête insupportables,
de difficultés respiratoires. Ils meurent (90% de mortalité) dans des litres de
sueur (d’où le nom de la maladie, la suette) nauséabonde et dans des délires
parfois dangereux. Puis leur dépouille se décompose à une vitesse étonnante.
Le froid a précocemment été utilisé par les hommes pour son action analgésique. Le froid le plus disponible était bien sûr l’eau fraîche, recommandée déja par Hippocrate, et d’un usage codifié au XIXéme siècle par les naturalistes allemands comme l’abbé Kneipp.
Point trop n’en faut: un froid trop
violent va tellement engourdir la circulation aux extrémités qu’il peut
provoquer une mortification des tissus. C’est bien ce qui se produit en cas de
gel prolongé, dans des conditions de guerre ou de catastrophes.
D’ailleurs, la cryothérapie “sensus
stricto” est bien une manière de cautériser des tissus (verrues, papillomes,
angiomes) sans douleur, par application d’azote liquide. On est alors là dans
des traitements très précis dans le temps et dans la zone traitée.
Mais les “bains d’eau froide”, tout comme
les bains de neige après un sauna scandinave, sont réputés pour soulager des
douleurs rhumatismales et réguler le système immunitaire.
Cette traditions de soins dans la sphère
germanique a donné lieu à des travaux scientifiques et à des réalisations en
Allemagne et dans les pays de l’Est, avec l’aiguillon très vivace des
performances sportives à développer ou à soulager.