On sait maintenant manipuler des cellules souches pour reconstituer le puzzle cellulaire d’un embryon. C’est de la recherche. OK. Et ça pourra procurer des organes “prêts à greffer”, OK. Mais aussi des bio-droïdes à la diligence des scientifiques ?

On sait maintenant manipuler des cellules souches pour reconstituer le puzzle cellulaire d’un embryon. C’est de la recherche. OK. Et ça pourra procurer des organes “prêts à greffer”, OK. Mais aussi des bio-droïdes à la diligence des scientifiques ?
le “robot intelligent qui sait tout” est désormais à notre disposition, gratuitement, et de façon simpliste. On est bnien sûr tenté d’y faire appel dans bien des situations, personnelles ou bien professionnelles. Dans le domaine médical, ce robot est encore bien défaillant.
Les aberrations et les mensonges qui ont accompagné les narratifs du Covid ont mis en avant l’existence de cet animal trop gentil et bientôt trop rare: le pangolin.
D’abord, soyons clairs : un deuxième avis n’a pas de sens lors de situations d’urgence, quand le temps est compté et qu’un véto est déjà à l’œuvre pour sauver votre animal. Il n’a pas de sens non plus pour des actes d’hygiène ou de prévention (vaccinations, traitements antiparasitaires) où un consensus s’applique pour tous les praticiens.
Franchement, ce tableautin des Deschiens ne vous rappelle rien ?
La graisse brune, bien développée chez les bébés, a cette capacité de se développer chez l’adulte en cas de stress thermique par le froid. Le vrai froid, par immersion parmi des glaçons … Une manière d’affamer des cellules cancéreuses ?
… et comment nos aïeux ont réagi (pestes, choléra, lêpre, grippes, sida … et enfin covid), avec quelles connaissances, quelles contraintes, quels résultats. Et maintenant, pour la prochaine, qu’est ce qu’on fait ?
Réputée depuis des siècles dans les médecines orientales, l’huile de nigelle a été employée au cours de l’épidémie, bien sûr disqualifiée par le système médical, mais de ce fait étudiée avec les critères de la recherche officielle. En voici les résultats.
L’ocytocine joue un rôle primordial dans la modulation de la réponse douloureuse. Activés par une douleur, certains neurones de l’hypothalamus libèrent de l’ocytocine dans la substance grise péri-aqueducale, atténuant ainsi la sensation douloureuse, quelle que soit sa modalité.