Qui était là le premier ? La réponse dépend de la personne à qui l’on pose la question… A un darwinien évolutioniste, ou bien à un physiologiste …

Qui était là le premier ? La réponse dépend de la personne à qui l’on pose la question… A un darwinien évolutioniste, ou bien à un physiologiste …
En fait, toutes les cellules d’un individu ont strictement le même ADN, et on s’appuie là-dessus pour en caractériser cet individu. C’est un peu léger. D’autant que dans chaque tissu des dizaines de types différents cohabitent, et pour chaque type une fonction biologique différente. Et l’est bien par les ARN qu’on peut en comprendre les subtilités du fonctionnement.
Traditionnellement, un zoo est un lieu d’observation, des visiteurs vers les animaux. Mais si l’on introduit une ambiance musicale, on est surpris de voir apparaître des interactions entre les deux groupes: les “pensionnaires” nous étonnent et nous ravissent.
Le Vivant, toujours en évolution (modifications structurelles vers plus d’adaptation aux conditions de survie), est maintenant analysé et compris dans bien des domaines: on peut alors tenter d’anticiper en en gardant les règles pour s’engager dans des chemins convenus.
Actuellement les effets des polluants chimiques sur le microbiote humain restent peu connus car l’étude du microbiote est relativement récente, tout comme celle, des polluants chimiques. Raisons de plus pour faire le point.
Haricots rouges, flageolets, lentilles, pois cassés, pois chiches… les légumineuses forment une famille de plantes aux déclinaisons aussi comestibles que multiples. Avec des bienfaits “santé” indéniables, tant pour nous autres que pour l’environnement.
(1) VISION QUANTIQUE DE L’EAU ET DE LA VIE CELLULAIRE
Un modèle physique pour comprendre le fonctionnement de l’homéopathie et de la médecine vibratoire
Le WE du 3-4 février 2024 (16h) en présentiel à St Victor et Mathieu -Aveyron
Cadavérine, putrescéine, scatole, autant de molécules à l’odeur épouvantable produites par les tissus en décomposition et par les bactéries qui s’en gobergent. Ignorées, méprisées, maudites, ces molécules ont pourtant des vertus qu’on découvre.
Elles sont partout à Paris : au Jardin des plantes, au bois de Vincennes, aux Buttes-Chaumont, au cimetière du Père-Lachaise… Les perruches à collier colonisent la capitale et la région parisienne et ce, depuis plusieurs années. Et pourtant sans inconvénients pour les autres espèces …
Le mâle n’est pas transgenre, mais c’est en lui que les ovules introduits par la femelle (sa femelle, pas une autre!) se développent en embryons, puis en alevins. Et ça marche très bien …