Notre espèce n’est pas entièrement pas démunie contre les frimas. Quelles sont ses stratégies face aux températures glacées ? Et pourquoi n’hibernons-nous pas pour passer l’hiver comme le font d’autres mammifères ?

Notre espèce n’est pas entièrement pas démunie contre les frimas. Quelles sont ses stratégies face aux températures glacées ? Et pourquoi n’hibernons-nous pas pour passer l’hiver comme le font d’autres mammifères ?
Que ce soit par le chant, par les parures ou les attitudes corporelles, les oiseaux sont parmi les animaux les maîtres de la séduction. Une belle leçon d’efficacité pour nous autres humains,.. pâles copieurs !
Au printemps, les glaciers alpins se teignent parfois d’une fine couche rouge ou orangée. Ce phénomène, connu sous le nom de “sang des glaciers”, est dû à la pullulation d’une algue microscopique appelée Sanguina nivaloides.
L’ovule fécondé, à la base du développement de tout individu, tout au moins dans l’option de la reproduction sexuée, va se développer selon diverses trajectoires biologiques. Depuis l’abandon en extérieur hydrique par millions d’ovules, puis l’élaboration d’oeufs pondus parfois gardés par les parents, puis le développement de foetus peu nombreux, accompagnés à la naissance par les parents ou par le groupe.
Les consignes de lutte contre la COVID-19 ont entrainé une forte augmentation de l’usage des masques[1] constitués à 90% de polypropylène (PP). Les défaillances des procédures de leur collecte et le manque de civilité de certains consommateurs ont facilité la dispersion des masques dans l’environnement;
On a jusqu’ici fixé des rôles métaboliques, voire pathogènes à des microbes bien précis. Mais en fait, ils agissent à plusieurs, tant dans un biofilm que dans un compost de jardinier. C’est l’ensemble qu’il faut connaître et protéger.
Qui était là le premier ? La réponse dépend de la personne à qui l’on pose la question… A un darwinien évolutioniste, ou bien à un physiologiste …
En fait, toutes les cellules d’un individu ont strictement le même ADN, et on s’appuie là-dessus pour en caractériser cet individu. C’est un peu léger. D’autant que dans chaque tissu des dizaines de types différents cohabitent, et pour chaque type une fonction biologique différente. Et l’est bien par les ARN qu’on peut en comprendre les subtilités du fonctionnement.
Traditionnellement, un zoo est un lieu d’observation, des visiteurs vers les animaux. Mais si l’on introduit une ambiance musicale, on est surpris de voir apparaître des interactions entre les deux groupes: les “pensionnaires” nous étonnent et nous ravissent.
Le Vivant, toujours en évolution (modifications structurelles vers plus d’adaptation aux conditions de survie), est maintenant analysé et compris dans bien des domaines: on peut alors tenter d’anticiper en en gardant les règles pour s’engager dans des chemins convenus.