On pourrait résumer cette grave réalité par un aphorisme teinté d’ironie :« Le jour, on soigne les maladies, la nuit, on soigne les malades ».

On pourrait résumer cette grave réalité par un aphorisme teinté d’ironie :« Le jour, on soigne les maladies, la nuit, on soigne les malades ».
Depuis toujours considérée comme un domaine spatio-temporel plein d’écueils, réservé à des activités douteuses, voire maléfiques, la nuit est désormais un continent vierge à coloniser pour toutes sortes d’activités économiques, qui se développent sans tenir compte de réalités biologiques primordiales.
Si la science médicale occidentale commence à prendre en compte l’importance de la chronobiologie sur notre développement, notre métabolisme, et sur l’efficacité des soins, il y a belle lurette que les thérapeutes chinois ont intégré le temps, en particulier les cycles jour/nuit, dans leurs méthodes de soins.
Chaque fois qu’on veut modifier brutalement un processus biologique, même pour de bonnes raisons, on met en route une réaction de résilience qui est parfois plus forte que le phénomène visé. Avec des succès apparents très temporaires, puis des fiascos à la fois sanitaires et économiques. Il en est ainsi avec l’utilisation des pesticides, des herbicides et des antibiotiques.
Une méthode ancestrale, mise au rencard par les antibios et antalgiques, est en train de réapparaître dans le domaine sportif: l’application de ventouses qui agissent par aspiration locale sur la peau: soulagement et meilleure circulation sanguine.
Jules Romains n’avait que 100 ans d’avance ! Dans « Knock, ou le triomphe de la Médecine », il décrit en mode comédie comment l’emprise médicale peut aliéner et spolier des populations entières, soit directement (c’est le cas de Knock), soit via les prestations sociales moins visibles, mais tout aussi lucratives.
Pour la médecine dite “académique”, l’homéopathie n’agit que par son effet placebo, c’est à dire par la confiance qu’on donne à son soignant. Pourtant, les animaux qui ignorent leur soignant, bénéficient de soins efficaces, surtout dans le cadre des élevages bio. Dans cette étude, il s’agit de chiens.
Il y a la forme, le contact, la manière de porter … Et puis la substance du vêtement, les divers traitements qu’il a subis. Et puis comment vous l’entretenez, avec quoi … Certains vêtements sont réellement dangereux. Mais il existe aussi des vêtements pleins de promesses, capteurs de signaux biologiques, protecteurs de la peau, capables également de soins infirmiers. Nos vêtements vont sans doute évoluer très vite. Sachons prendre les bonnes directions.
Seules marques de verdure dans les branches dépouillées de l’hiver, les rameaux de gui sont depuis des siècles apparus comme des formes naturelles de résistance à l’âge et aux maladies. Le début du XXème siècle, à l‘époque d’une phytothérapie empirique mais efficace, a vu de nombreuses applications médicales reposer sur l’utilisation des différentes espèces de cette plante hors normes.
Comme dit le proverbe : « à chacun sa m … ». Effectivement, nous avons chacun notre produit d’excrétion personnel, une sorte de signature qui apporte bien des renseignements sur notre activité alimentaire, notre cadre de vie, notre rapport aux émotions, bref, sur notre santé. Et ceci dans un contexte de tabou: le caca, c’est sale, il ne faut pas en parler. Hé bien si, justement, parlons-en