En appoint de l’article précédent, cette mise au point sur les attitudes différentes observées pour une alimentation détachée de la “filière animale”

En appoint de l’article précédent, cette mise au point sur les attitudes différentes observées pour une alimentation détachée de la “filière animale”
Le végétarisme est un mouvement social qui repose sur un engagement individuel, et qui prend un essor très marqué depuis quelques années, ceci dans le monde entier. Est-ce un phénomène de mode, ou bien un principe d’écologie et de bonnes conduites en rapport avec nos difficultés du XXIème siècle ? Sûrement non, il s’agit de principes et de débats qui ont quatre mille ans de recul, ils se sont simplement désormais laïcisés.
Dans les chaumières comme dans les manoirs, on pouvait dormir en sécurité et au chaud dans des “lits clos”, un mobilier qui a perduré jusqu’au siècle dernier. Désormais, c’est par l’exiguité des chambres que réapparaissent lits coffres et mezzanines.
La réponse est dans la production d’interférons par les muqueuses respiratoires, quasi immédiate chez les jeunes (amygdales et tissus lympho¨¨ïdes associés), bien plus tardive chez les adultes . Une étude nantaise précise bien les choses.
Ce phénomène aux mille facettes cliniques, reste un mystère pour une médecine que se perd dans ses propres éparpillements. Pour comprendre et réagir, il faut revenir aux bases de la physiologie.
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Longtemps appelé « tissu de remplissage et de soutien », le conjonctif apparaît désormais comme un domaine clé de notre physiologie, qui bien au delà de son rôle nutritif et hydratant, organise à distance la gestion des gènes (épigénétique) en fonction de facteurs extérieurs (l’environnement) ou intérieurs (émotions, encrassements métaboliques, etc.). Et c’est la qualité hydrique du conjonctif qui conditionne les équilibres (ou les pathologies) de bien des tissus qui y sont plongés.
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Une manière de limiter le gaspillage des fruits et légumes, est d’augmenter leur résistance aux bactéries et aux champignons. Des principes végétaux, placés sur des patches qu’on colle aux fruits, peuvent jouer ce rôle.
Les débris plastiques flottants provenant de la pollution soutiennent désormais une nouvelle communauté à la surface de la mer composée d’espèces côtières et océaniques en mer qui pourraient laisser présager des changements écologiques importants dans l’environnement marin.
En Atlantique et mer d’Iroise, on n’avait jamais vu autant de prises de poulpes depuis cet été. Jusqu’à 20 fois plus, attrapés à la ligne ou au casier. Retour à l’équilibre, ou bien chamboulement écologique ?
Cette pieuvre préfère visiblement la marche sur deux (ou trois?) tentacules, à la nage qui met en oeuvre les huit membres … Du fait de blessures? Ou par un comportement spontané d’amélioration de ses déplacements ?