Encore une exclusivité australienne, cet oiseau de belle taille offre quelques particularités qu’on va ici détailler.
Sorte de mini autruche au long cou et à la tête bleuâtre, l’émeu s’est considérablement développé en Australie, jusqu’à des bandes de plusieurs centaines … Difficile, très difficile à les cadrer, même l’armée australienne y a renoncé…
Les liaisons hydrogène sont des liens intermoléculaires dont les atomes constitutifs respectent une certaine directionnalité. Dans un réseau de ponts H, leur architecture est donc très optimisée. Cette propriété des ponts H permet à l’eau de cristalliser de façon définie pour se changer en glace. Les conditions de refroidissement affectent la géométrie du réseau cristallin de la glace.
Pour décortiquer les savoirs actuels sur la physique quantique et ses applications en médecine, nous voilà partis pour une douzaine d’articles à paraître sur deux mois, certains en libre lecture, d’autres réservés aux abonné(e)s.
La physique quantique introduit une logique trinaire: on échappe au rigoureux “vrai ou faux” pour voir apparaître le “possible”.
En deçà
(et au delà …) du monde matériel et mesurable, base de notre biologie
moléculaire, les physiciens appréhendent un monde vibratoire chargé d’énergie
et d’informations, qui justement refuse d’être mesuré, sous peine de se
transformer aussitôt en substance matérielle figée sous le nez de
l’observateur.
Un peu
comme si l’eau d’un nuage ou d’un torrent se transformait en glace chaque fois
qu’on veut l’étudier … Et pourtant elle vole, et pourtant elle coule !
Toutes
ces avancées désormais glanées par les physiciens, doivent d’urgence être
intégrées à la biologie et à la médecine, afin d’en contourner les pesanteurs
et les blocages actuels.
La
“médecine quantique” est devenue une tarte à la crême qui attire lecteurs et
curieux, dans laquelle on peut glisser bien des ingrédients gentiment
ésotériques, doctement théologiques ou bien purement mercantiles. C’est facile,
puisque actuellement tout le monde s’y perd …
D’où cette série d’articles qui se veut repère indépendant de nos connaissances et des interprétations qui s’y rattachent.
Premier article: erreurs et contraintes de la méthode scientifique conventionnelle.
Elle consomme, elle pollue, elle disperse les germes … Oui, mais elle nous rafraîchit. Peut-on s’en passer ?
Le fluide le plus adapté pour “apporter du frais”, c’est l’eau: gratuite, saine, renouvelable … C’est d’ailleurs le vecteur utilisé dans les clims classiques. Avec beaucoup d’énergie derrière.
Mais cette eau, on peut l’employer autrement:
Par exemple via cette accumulation de tuyaux en terre cuite, qu’on place dans le lieu à climatiser au dessus d’un bassin qui va à la fois récupérer l’eau, et servir de mobilier de décoration.
Avec un dispositif particulier d’électrolyse, le bulgare Yull Brown obtient un mélange gazeux H°, H°, et O° tous monoatomiques. C’est toujours de l’eau, mais une eau extraordinaire, un autre état de la matière.
Sous son nom d’origine Ylya Velbov, cet ingénieur démarre mal dans la vie : comme beaucoup de jeunes bulgares, il est enrôlé de force dans la Wehrmacht, puis libéré en fin de conflit, il est condamné au goulag par les russes, s’enfuit par la Turquie, et émigre en Australie, où il prend le nom définitif de Yull Brown.
Là, il entame une honnête carrière d’ingénieur dans une entreprise de mécanique, puis il monte son propre laboratoire.
Sa première invention : un nouveau détecteur d’armes pour la sécurité des aéroports. Invention trop précoce, c’est un échec.
Brown se tourne alors vers des recherches et suit son intuition dans un domaine négligé par la chimie orthodoxe : l’eau… et le vide !