La Science, c'est l'addition de mille savoirs. Partageons ces savoirs.
Auteur : admin1402
Vétérinaire à Toulouse, je gère bénévolement ce blog suite à l'arrêt de parution du journal "paper" Effervesciences" survenue durant la crise covid. Désormais, les infos sont en ligne, gratuietement.
Avec les hadrons, c’est à dire les particules “lourdes”, on entre de plain pied dans la matière. Certes, les neutrons comme les protons sont constitués eux aussi de vibrations, mais sous une forme organisée (les fameux quarks) qui les font apparaître matériellement.
Ces deux
particules ont une sympathie naturelle l’une pour l’autre, et elles
s’agglomèrent ensemble pour former le noyau des atomes. Selon un équilibre qui
veut que pour un atome donné, le nombre de neutrons et celui des protons soit
sensiblement le même.
Vous connaissez
l’allure d’une pirogue à balancier des mers du sud ?
C’est un examen de laboratoire qui ressemble à un antibiogramme mais où les antibiotiques sont remplacés par des HE préalablement sélectionnées et de composition biochimique connue grâce à des analyses de laboratoire (chromatographie en phase gazeuse couplée à un spectromètre de masse).
L’aromatogramme permet de déterminer l’efficacité in vitro des Huiles Essentielles. Les résultats obtenus permettront de préparer avec précision une synergie d’Huiles Essentielles afin de lutter contre le germe en cause.
Dans le règne animal. La distanciation sociale se produit non seulement chez les espèces qui mènent toujours des vies solitaires, et s’évitent ainsi même lorsque personne n’est malade, mais aussi chez certaines espèces sociales lorsque les circonstances l’exigent.
Des fourmis aux abeilles en passant par les souris, les singes et les chauve-souris, un éventail d’animaux sociaux modifient leur comportement pour réduire le risque de propagation des infections. Beaucoup utilisent des stratégies qui ne fonctionneraient pas pour les humains, mais elles illustrent toujours pourquoi nous isoler lors d’une épidémie n’est pas aussi naturel que cela puisse paraître.
Le Baclofène est un “vieux médicament” toujours utilisé dans sa mission première, celle de myorelaxant. Mais une action secondaire fondamentale s’est avérée, celle de libérer les alcoolo-dépendants de leur dangereux penchant. S’en est suivi une triste manigance où les autorités médicales n’ont une fois de plus, pas le beau rôle …
Le Baclofène est devenu Baclocur … mais à utiliser à quelle dose ?
Ce blog a démarré le 6 avril de cette année, donc 100 jours se sont écoulés depuis la première ligne publiée. Un petit état des lieux …
C’est plutôt encourageant… Ce blog a pris la suite de la parution papier, un bimestriel de 32 pages, arrêté à son numéro 129 pour cause de coût d’imprimerie et de messagerie …
Pour des petites revues, le papier a fait son temps …
En trois mois, à partir de zéro, ce blog a vu passer 11200 visiteurs, qui ont consulté plus de 26000 pages.
En trois mois, ce blog a publié 115 articles, c’est nettement plus que du temps du papier …
Parmi ces articles, certains (les plus fournis) sont réservés à des abonnés, dont beaucoup sont issus des lecteurs du journal papier. Sur ces dossiers, notre rythme de rédaction est un peu plus lent, mais nous tiendrons le cap des deux dossiers par mois …
S’abonner (un an, 10 euros, à vie 30 euros), c’est accéder à des connaissances supplémentaires, c’est aussi supporter cette initiative de développer des informations pertinentes et décalées par rapport à la science académique.
Jusqu’à présent, j’ai quasiment rédigé seul ces articles. Ce blog est ouvert aux talents et aux compétences scientifiques et pratiques tous azimuths. Avis aux amateurs. Ils peuvent me contacter via cette adresse: gauchet31@gmail.com.
Toute la chimie repose sur les échanges ou les mises en commun d’électrons entre les atomes pour former des molécules biologiquement actives. Comme le photon, c’est une entité difficile à apprécier dans le temps comme dans l’espace.
Nuage électronique de l’atome d’hydrogène H
Au sein de la matière, il est une onde-particule qui ressemble bigrement au photon, c’est l’électron. Situé en périphérie des noyaux atomiques, lui aussi n’existe que sous forme d’onde à la présence aléatoire, à la position toute statistique, mais il apparaît spontanément au moment de sa détection. Et dès lors, il devient docile, se laisse localiser, mesurer, et accepte même d’être apprivoisé pour des usages propres à l’homme.
Le photon est en fait très mal nommé. On lui a gardé son nom de particule, de “grain de lumière”, nous dirons sa polarité “yang”, alors qu’il n’est qu’exceptionnellement sous cette forme. Uniquement pour flatter nos sens !
C’est une sorte de Kevlar, souple et robuste, qu’on peut assembler par impression 3D sur une matrice anatomique. Une avancée pour toutes les pathologies articulaires, y compris rachidiennes.
Que ce soit par intuition ou bien selon une réflexion, tous les hommes avant nous ont affirmé que notre monde est né de la lumière. Et cela sans synchrotron ni satellite d’observation … Quant à nous, plus notre savoir augmente, et plus nous pouvons intégrer cette idée.
Cette
lumière est impalpable, omniprésente, et il va falloir de sacrées
circonvolutions de la pensée pour la faire aboutir à de la matière palpable et
localisée.
Surtout
lorsque, de l’aveu même de nos chercheurs de pointe, nos moyens d’observations
“passent à coté” de 73 à 90% de la matière existante. Existante, car néanmoins
mesurable en astrophysique pour caractériser les galaxies et l’évolution de
l’univers. Mais pas du tout mesurable dans le microcosme, à l’échelle nano …