Toute la chimie repose sur les échanges ou les mises en commun d’électrons entre les atomes pour former des molécules biologiquement actives. Comme le photon, c’est une entité difficile à apprécier dans le temps comme dans l’espace.
Nuage électronique de l’atome d’hydrogène H
Au sein de la matière, il est une onde-particule qui ressemble bigrement au photon, c’est l’électron. Situé en périphérie des noyaux atomiques, lui aussi n’existe que sous forme d’onde à la présence aléatoire, à la position toute statistique, mais il apparaît spontanément au moment de sa détection. Et dès lors, il devient docile, se laisse localiser, mesurer, et accepte même d’être apprivoisé pour des usages propres à l’homme.
Le photon est en fait très mal nommé. On lui a gardé son nom de particule, de “grain de lumière”, nous dirons sa polarité “yang”, alors qu’il n’est qu’exceptionnellement sous cette forme. Uniquement pour flatter nos sens !
Que ce soit par intuition ou bien selon une réflexion, tous les hommes avant nous ont affirmé que notre monde est né de la lumière. Et cela sans synchrotron ni satellite d’observation … Quant à nous, plus notre savoir augmente, et plus nous pouvons intégrer cette idée.
Cette
lumière est impalpable, omniprésente, et il va falloir de sacrées
circonvolutions de la pensée pour la faire aboutir à de la matière palpable et
localisée.
Surtout
lorsque, de l’aveu même de nos chercheurs de pointe, nos moyens d’observations
“passent à coté” de 73 à 90% de la matière existante. Existante, car néanmoins
mesurable en astrophysique pour caractériser les galaxies et l’évolution de
l’univers. Mais pas du tout mesurable dans le microcosme, à l’échelle nano …
Pour décortiquer les savoirs actuels sur la physique quantique et ses applications en médecine, nous voilà partis pour une douzaine d’articles à paraître sur deux mois, certains en libre lecture, d’autres réservés aux abonné(e)s.
La physique quantique introduit une logique trinaire: on échappe au rigoureux “vrai ou faux” pour voir apparaître le “possible”.
En deçà
(et au delà …) du monde matériel et mesurable, base de notre biologie
moléculaire, les physiciens appréhendent un monde vibratoire chargé d’énergie
et d’informations, qui justement refuse d’être mesuré, sous peine de se
transformer aussitôt en substance matérielle figée sous le nez de
l’observateur.
Un peu
comme si l’eau d’un nuage ou d’un torrent se transformait en glace chaque fois
qu’on veut l’étudier … Et pourtant elle vole, et pourtant elle coule !
Toutes
ces avancées désormais glanées par les physiciens, doivent d’urgence être
intégrées à la biologie et à la médecine, afin d’en contourner les pesanteurs
et les blocages actuels.
La
“médecine quantique” est devenue une tarte à la crême qui attire lecteurs et
curieux, dans laquelle on peut glisser bien des ingrédients gentiment
ésotériques, doctement théologiques ou bien purement mercantiles. C’est facile,
puisque actuellement tout le monde s’y perd …
D’où cette série d’articles qui se veut repère indépendant de nos connaissances et des interprétations qui s’y rattachent.
Premier article: erreurs et contraintes de la méthode scientifique conventionnelle.
Les Deschiens avaient l’art de porter en dérision des thèmes scientifiques (Les trous noirs, l’évolution, les réseaux internet, etc). Ici une plaidoirie enfiévrée pour défendre la vivisection….
L’immunologie n’est plus la filiale vaccinale de l’infectiologie. Le système immunitaire est maintenant observé et compris dans un ensemble physiologique qui regroupe les systèmes nerveux, sanguins, et hormonaux. Et qui prend en compte des affections non infectieuses, comme les cancers, les maladies dégénératives, ou les troubles endocriniens.
Et maintenant ?
Nous avons vu au cours des 5 articles précédents comment l’immunologie est passée du rang de bricolage vaccinatoire à une place prépondérante du savoir médical.
Notre système immunitaire et vigilant, mais il peut également se laisser endormir par des informations antigéniques uniformes, permanentes. On sait le réveiller artificiellement (vaccins), mais “dans la vraie vie”, il faut savoir entretenir son attention.
la théorie de la continuité / discontinuité
Si l’on observe les pathologies pour lesquelles le système immunitaire est défaillant, comme les cancers (cellules cancéreuses repérées comme dangereuses, mais peu ou pas éliminées) ou encore les parasites intracellulaires, on s’aperçoit qu’elles ont en commun de présenter de manière constante leurs spécificités antigéniques, sans variation particulière.
On a reproché à l’équipe marseillaise de bidouiller les malades avec des “vieilles molécules”dépassées ou hors protocole reconnu. Et l’on met en avant un tout nouveau remdesivir plein de promesses … Sauf que …
Aux USA, il existe un journal reconnu par toute la profession médicale, le STAT, dont le staff de rédaction est composé de journalistes, de médecins et de chercheurs de haut niveau, qui compilent en permanence les publications scientifiques, les comparent avec les témoignages ou observations des médecins praticiens.
Très récemment (le 14 mai), ce journal a fait paraître une tribune (first opinion) collective, dans laquelle est demandé directement à la société Gilead de retirer des essais le remdesivir, cette molécule vedette (qui par ailleurs ne brille pas dans les essais en cours), et de la remplacer par une autre molécule de l’écurie Gilead, dont le nom est GS-441524 .
Pourquoi cette demande (ou plutôt cette supplique) de “sachants” responsables, envers ce laboratoire tout puissant dans le domaine médical ?
Le ton monte chez les écologistes … qui en sont à se rapprocher des chasseurs! Le chat, dès qu’il est en liberté dehors, est un prédateur de dizaines d’espèces animales. Alors que faire ?
Jusque là, tout va bien …
Le problème a été d’abord soulevé en Australie, où des millions de chats harets (devenus sauvages) constituent une population jugée néfaste: un danger pour les koalas, mais aussi pour plus de 500 espèces natives (reptiles, oiseaux et mammifères, au total 230 millions de victimes chaque année.