Ce sera de mémoire terrienne la plus massive expérimentation biologique concernant l’Homme, sur plusieurs milliards d’individus en quelques mois. Un arn (le même pour tout le monde) afin de guider la réponse immunitaire. Un magnifique raccourci thérapeutique, plein de promesses. Mais aussi plein de questions.
L’arn messager indique au ribosome comment tricoter la protéine antigénique …
Une tendance actuelle chez certains généralistes : “un motif par rendez-vous”. Si vous avez à la fois une cystite et un mal de dos … il faut prendre deux rendez-vous. La médecine actuelle est ainsi débusquée: on soigne une maladie, pas un malade …
Chaque agglomération est caractérisée par une empreinte microbienne propre, au même titre que nos microbiotes cutanés ou intestinaux. Chaque grande métropole étudiée jusqu’à présent révéle un « écho moléculaire » unique des espèces microbiennes qui l’habitent, distinct des populations trouvées dans d’autres environnements urbains.
Prélèvements multiples dans les zones de passage: chaque ville a son propre microbiote.
Le rapport d’expertise concernant cette crise concernant la nouvelle formule d’un médicament fondamental est en train de fuiter dans la presse. En résumé, le labo Merck a donné aux autorités des informations incomplètes, et l’ANSM n’a pas réagi à de très nombreuses alertes de médecins de terrain. L’effet nocebo avait bon dos …
Avec deux annuaires du téléphone pour relever la tête de lit, votre physiologie nocturne prend un coup de légèreté. Oui, mais pourquoi ? Ce principe n’est pas nouveau, mais n’a pas été revendiqué, ni par des médecins, ni par des doctes hygiénistes dont pourtant l’Histoire est jalonnée. Il a fallu la curiosité et l’entêtement d’un ingénieur anglais, pour démontrer la valeur médicale, ou tout au moins les vertus curatives de ce procédé simplissime.
Les études toxicologiques classiques s’appuient sur la prise de substances douteuses, à doses diverses, avec observation des effets biologiques. Mais on peut aussi observer les incidences d’une alimentation bio, versus alimentation “normale”… Sur des perdrix, les résultats sont quasi immédiats… le Bio est un réel facteur de santé.
Les bactéries sont partout autour de nous, mais aussi dans notre intérieur (poumons, intestins …) . La biologie pastorienne les a identifiées, pour mieux les contrôler sur un plan médical, mieux les asservir pour des processus bio-industriels. Mais après un siècle de belligérance, on s’aperçoit que “l’adversaire” est le plus souvent un partenaire, et qu’il existe dans son milieu naturel, de manière totalement différente que dans nos cultures de laboratoires. Avec de telles erreurs de jugement, il n’est pas étonnant d’assister à des échecs thérapeutiques ou technologiques, en particulier lorsque les bactéries s’organisent en commun pour créer des biofilms.
L’eau de ballast est de l’eau stockée dans la coque d’un navire pour assurer la stabilité et améliorer la maniabilité pendant un voyage. Lorsque le navire atteint sa destination, le ballast est vidé dans l’eau du nouveau port, avec son lot d’invités indésirables sous forme de bactéries, virus, algues, petits invertébrés, œufs ou larves de diverses espèces qui ont fait du blablaboat… et peuvent devenir des espèces envahissantes.
Notre santé actuelle paie très cher l’utilisation de ce faux sucre, un sous-produit d’une agriculture intensive de Big Agro (engrais, eau, OGM, pesticides… et subventions sans fins) que Big Nutri (vous connaissez les marques) incorpore dans les assiettes, au bénéfice en commun de Big Pharma qui « soigne » les diabètes, cardiopathies et autres cancers. Si vous cherchez bien, ce sont bien souvent les mêmes actionnaires…
Jusqu’ici, les résidus de brasserie (ce qui reste de l’orge après fermentation), étaient fort peu valorisés, essentiellement vers l’alimentation animale de peu de valeur nutritive. Mais désormais, on peut en consommer, c’est un bonne action environnementale …de la “récup’ alimentaire!