Les autorités françaises de santé se sont privées de bien des compétences pour gérer cette pandémie issue du monde animal. Ou plutôt elles en ont privé la santé de toute la population.
Billet de François Meurens, Professeur d’immuno-virologie à Oniris (École nationale vétérinaire, agroalimentaire et de l’alimentation de Nantes-Atlantique), UMR 1300, Inrae
Pour exemple, ce “bouton” qui vous suit jour et nuit, et qui envoie “pour votre bien” tout ce qui se passe dans votre corps à vous …
Le BioButton est de la taille d’une grosse pièce de monnaie, il suit la température, la respiration et la fréquence cardiaque de la personne au repos, la position du corps, l’activité du sommeil ainsi que l’état d’activité à tout moment, le tout pendant 90 jours continus.
Plus on avance dans la connaissance de la maladie, plus on s’aperçoit des graves erreurs commises dans son appréciation et surtout dans les soins médicaux prescrits
On ne va pas ici évoquer la tragi-comédie des masques utiles, pas utiles, obligatoires, préconisés … ni les tergiversations sur le confinement en zones rouges, vertes … On va se limiter au médical.
l’alchimie a toujours été considérée comme une activité louche, pratiquée sous le manteau par des individus asociaux et cupides. Difficile d’attacher autant de défauts à Newton, et pourtant …
Car depuis belle lurette, les alchimistes qui s’intéressaient aux origines et aux ressorts de la Vie (un domaine réservé à la reli- gion), mais aussi à la jonglerie possible d’un métal à l’autre, donc à cette capacité à créer des richesses (un domaine réservé aux souverains), étaient en permanence sujet à des tracasseries qui dans les temps anciens conduisaient en enfer … D’où ces précautions naturelles qu’on prend pour des tartufferies.
Avec un dispositif particulier d’électrolyse, le bulgare Yull Brown obtient un mélange gazeux H°, H°, et O° tous monoatomiques. C’est toujours de l’eau, mais une eau extraordinaire, un autre état de la matière.
Sous son nom d’origine Ylya Velbov, cet ingénieur démarre mal dans la vie : comme beaucoup de jeunes bulgares, il est enrôlé de force dans la Wehrmacht, puis libéré en fin de conflit, il est condamné au goulag par les russes, s’enfuit par la Turquie, et émigre en Australie, où il prend le nom définitif de Yull Brown.
Là, il entame une honnête carrière d’ingénieur dans une entreprise de mécanique, puis il monte son propre laboratoire.
Sa première invention : un nouveau détecteur d’armes pour la sécurité des aéroports. Invention trop précoce, c’est un échec.
Brown se tourne alors vers des recherches et suit son intuition dans un domaine négligé par la chimie orthodoxe : l’eau… et le vide !
La “maladie du soda”, ça parle mieux que la “stéatohépatite non alcoolique”. Mais c’est tout aussi fumeux!
On a appris l’existence de cette maladie lorsqu’elle a touché Pierre Ménès, célèbre journaliste footbalistique, qui on s’en doute depuis, buvait beaucoup de sodas …
La NASH est la forme la plus sévère de la surcharge du foie en lipides, la stéatose hépatique. Cette stéatose hépatique est très courante et elle accompagne des maladies comme le diabète ou le syndrôme métabolique. La cause est bien connue: malbouffe, grignotage, excés permanent de sucres, en particulier du fructose caché dans les plats industriels. De fait, cette stéatose touche la majorité des obèses.
Si l’inflammation du foie est absente ou minime dans la banale stéatose hépatique, en cas de NASH, une inflammation chronique plus importante peut conduire à la cirrhose, c’est à dire à la destruction du foie.
Pourtant, en France tout du moins, si la stéatose hépatique est banale, les décès liés à une cirrhose consécutive à une NASH sont si rares qu’ils ne sont pas individualisés dans les causes de décès recensées par l’INSERM.
Par ailleurs, il apparaît que la Marine américaine a mis en route des essais de “diététique” sur les plongeurs de combat: une “grande nouveauté”, le régime kétogène, jugé dangereux par les instances médicales, mais qui permet aux plongeurs de gagner 40% en performances lors des essais déjà réalisés.
Dans l’actuel mouvement metoo, le droit se cuissage est évoqué comme une réalité historique, mais aussi comme un principe immanent d’une société inégalitaire.
Tarte à la crème des récits moyenâgeux, pointant du doigt les excès du système féodal, le droit de cuissage est depuis longtemps remisé par les historiens au rayon des fables… mais sa survivance dans les esprits peut cacher autre chose.
Plus
de deux millions de français sont allés s’esclaffer au cinéma lors de la sortie
de ”Promotion canapé”, film gentillet, satyre des mœurs supposées d’une administration
de la République…
Ce
film a basé son succès sur la vague ”politiquement correcte” de la dénonciation
des harcèlements sexuels. Et à cette occasion, de doctes commentateurs ont
établi une relation immédiate avec le droit de cuissage des seigneurs, sur les
futures épouses de leurs sujets…
Au-delà du droit de cuissage, sont évoqués parallèlement d’autres excès de la caste nobiliaire, comme le ”droit de ravage” (pratique d’une chasse à courre à grand spectacle dans les cultures, anéantissant les récoltes) ou le droit de ”faire battre marais” par la populace, afin de faire cesser les coassements des grenouilles…
Au niveau des données purement statistiques, le fumeurs sont nettement moins sensibles au Covid que la moyenne. Trois ou jusqu’à cinq fois moins!
Et tout le monde s’emballe sur la nicotine, molécule maudite par les instances de santé. Récepteurs nicotiniques ? Les fabricants de patches se frottent déjà les mains, mais de fait, on n’en sait rien de rien. Peut-être tout bêtement que les poumons de fumeurs, agressés en permanence par les goudrons (et Cie) du tabac, ont une résistance supérieure, en particulier aux bactéries qui font exploser la maladie? Action régulatrice de l’immunité? Encore autre chose?