L’homme qui déplaçait tout seul des blocs de trente tonnes

Comme notre Facteur Cheval, cet original dans les années 30 s’est construit tout seul un domaine fantastique, de dizaines d’élévations, de constructions, pour former un parc ouvert au public. Et il a fait ça tout seul, sans aide extérieure.

“Petite” différence avec notre Cheval National, les éléments de construction sont tous des blocs de pierre arrachés à une carrière du voisinage, qui pèsent entre une et trente tonnes. Des jointures parfaites, pas un. gramme de ciment.

Et il a fait ça tout seul, avec un vieux tracteur de récupe. Lui dit qu’il sait se jouer de la gravité.

La gravité ! Une force sur laquelle tous les physiciens s’arrachent les cheveux depuis des siècles ! Et lui, petit immigré estonien en Floride, il aurait trouvé ce que nos synchrotrons ne savent déceler ?

Voilà qui mérite quelques explications …

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En trois siècles, la taille des verres de vin a été multipliée par sept !

De 60 ml (l’actuel verre à sherry), on est passé à ces quasi-vasques propres à garder les arômes, mais surtout à nous pousser à boire …

Une étude anglaise de l’Université de Cambridge est formelle : en étudiant la forme et la contenance de verres à vin, dans les musées, les collections, les ventes aux enchères, et les magazines actuels, on  peut en retracer l’évolution et la quantifier.

Cette évolution a été très progressive jusque dans les années 1900 (premier doublement de contenance), puis une seconde fois dans les années 1990.

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Matière / énergie : la théorie du Vortex

“Tout est vibration”. Du photon au spin des électrons. Bon, mais comment s’organise la correspondance entre ces vibrations et la matière qui nous constitue?

Bien des théories ont été proposées, le plus souvent des constructions de l’esprit. Voici la théorie du Vortex, selon Jean Dragonera, inspirée par les travaux de Schauberger.

” La Science ne donne accès qu’aux apparences ”

Bernard d’Espagnat (ancien Directeur du Laboratoire de Physique Théorique d’Orsay).

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Police scientifique: remplacer les portraits-robots par des caricatures ?

Pour diffuser un visage et rechercher des témoins, le portrait-robot est un moyen classique, dont la finalité est d’intégrer le maximum d’éléments de ressemblance entre le dessin et la personne recherchée. Mais cette ressemblance repose sur bien trop d ‘éléments ( jusqu’à 500 ! ) pour faire surgir les quelques traits prédominants qui marqueront les éventuels témoins …

Le talent du caricaturiste est justement de percevoir en quelques instants les attributs les plus caractéristiques d’un visage, et de les retranscrire en quelques traits. Selon un croquis simple mais facilement mémorisable.

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L’épidémie: il faut sans doute tout revoir.

Virus, oui, implication bactérienne, oui aussi, mais le vrai problème dans les cas dramatiques, c’est l’énorme difficulté aux globules rouges de capter et de transporter l’oxygène. Et ça, c’est un problème qui échappe aux virologistes, c’est un problème de métabolisme cellulaire … qui à bien des égards, se rapproche de la pathogénie du paludisme …

Alors, il faut changer de lunettes et s’atteller à un autre problème … sans doute le VRAI problème …

Ce sont des urgentistes “tous terrains”, en particuliers des médecins qui ont écumé la planète lors de missions, qui ont connu toutes les , pathologies infectieuses, parasitaires, de catastrophes, dans des milieux très différents, et qui ont sonné l’alarme: “ces patients sont comme les passagers d’un avion brutalement dépressurisé: il leur manque de l’oxygène dans tout l’organisme et ils étouffent.

De fait le virus s’attaque aux globules rouges, dont il modifie les caractéristiques de la molécule principale: l’hémoglobine au niveau de son noyau central: l’hème.

L’hème est une protéine qui possède en son centre un atome de fer, et c’est ce fer qui attire et qui retient les molécules d’oxygène dans le sang et dans tous les tissus, où inversement, il va capter le CO2 pour l’emmener pour son élimination jusqu’aux poumons.

Le Covid 19 agit sur ce noyau hème (et comment?), avec pour effets de chasser l’atome de fer qui se trouve libéré, alors que le globule rouge perd alors ses capacités de transporter l’oxygène.

Double peine pour le malade: il est en hypoxie dramatique (et là, il “suffirait” de le placer en oxygénation hyperbarre), mais ce fer libéré est ravageur: c’est un oxydant toxique qui brûle littéralement les tissus adjacents, le plus souvent au niveau pulmonaire.

Certains bactéries, jusque là anodines, profitent de cet ouragan inflammatoire et se développent rapidement. C’est alors tout l’intérêt des antibiotiques de type azythromycine (mais il en a plusieurs dans cette catégorie)

Mais c’est aussi une manière de comprendre l’intérêt de l’hydrochloroquine, un médicament majeur contre le paludisme. Et c’est quoi le paludisme ? Une maladie des globules rouges où le parasite plasmodium se développe en détruisant l’hémoglobine. Et l’hydrochloroquine, en abaissant le pH cellulaire (tout comme le bleu de méthylène), bloque le développement du parasite.

Soigner en amont les prémisses de la maladie, c’est la moindre des choses, et c’est le protocole marseillais qui est bridé par ailleurs (sauf par une myriade de médecins de ville ou de clinique, qui prennent sur eux et soignent au mieux).

Arriver à juguler l’inflammation, ce serait le rôle des interférons béta (essais en cours), mais aussi de molécules “de base”comme les cortyicoïdes, qu’on a décriées dès le début de l’épidémie comme étant facilitatrices pour l’infection.

Tout dépend du stade de la maladie , mais ces médicastres de salons (tiens, ce serait bon de ressortir certains textes de Molière) ne voient que le virus, avec le graal du vaccin comme la future victoire du système médical.

En attendant, tout l’effort de recherche est dirigé dans ce qui semble être de fausses pistes.

Bien sûr, chaque jour apporte de nouveaux savoirs, de nouveaux espoirs. Dans ce blog, nous restons vigilants, merci de nous suivre régulièrement.

Jean-Yves Gauchet

Apithérapie: savoir contrôler le venin…

En apithérapie (soins avec les produits de la ruche …), les actions de soin les plus puissantes sont obtenues avec le venin d’abeille, qui contient selon la saison, l’essaim, le type d’abeille, des molécules très actives et même dans certaines conditions, extrêmement dangereuses.

Saisir l’abeille sans l’écraser et l’amener doucement vers la zone cutanée à traiter

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Quand les asticots … peuvent leurrer la police scientifique.

Voici une expérience, menée en Angleterre, sur des cadavres de porcelets, dont l’un avait été imprégné de nicotine, comme s’il avait fumé …
Hé bien dans les heures qui ont suivi leur mise à l’air, à la portée des mouches, seuls les porcs “non fumeurs” ont été attaqués par les asticots, les ” fumeurs”l’ont été que bien plus tard, peut-être après dégradation ou élimination de la nicotine.

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Traitements du cancer: écoutons les évolutionnistes

Le Dr Gatenby est un radiologiste un peu hors normes, qui a publié dans Nature un papier provocateur, à la suite de recherches statistiques qu’il détaille dans cette parution. Le principe qui sort en conclusion, est que les efforts thérapeutiques qu’on fait actuellement sur les cancéreux pour éliminer les tumeurs ( comprendre chimios et radiothérapies), ne permettent de gagner que des victoires à la Pyrrhus : ces traitements en effet permettent en permanence la  sélection des cellules les moins sensibles, car contrairement aux anti-infectieux par exemple, on ne peut pas utiliser la dose maximale, celle qui va tuer TOUTES les cellules cancéreuses : il faut protéger les cellules saines. Et donc laisser forcément s épanouir en quelques semaines les cellules résistantes, celles contre lesquelles on ne sait plus lutter… mais au sein d’un organisme blessé, dénutri, avec des tissus enflammés qui peuvent eux mêmes cancériser …

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Le bleu de méthylène: encore un candidat pour contrer le Covid-19

Devant l’incurie des “sachants”concernant notre épidémie, de multiples initiatives se font jour, lancées par des individus eux-mêmes sachants, mais complètement intégrés aux réalités cliniques. Et qui font apparaître des savoirs oubliés, ou encore qui font des trouvailles qui font réfléchir.

Le bleu de méthylène, ici dans sa version injectable.

C’est le cas d’un vieux remède, le bleu de méthylène. On l’utilise encore comme désinfectant urinaire, ou en aquariophilie contre les infections cutanées des poissons. C’est aussi un médicament d’urgence pour certaines intoxications.

Mais bien plus !

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Prix de revient des remèdes anti-viraux. C’est édifiant !

Ce travail de compilation très sérieux a été réalisé par une équipe de rédaction de la revue Journal of virus eradication

Ils ont fait apparaître, à partir des catalogues commerciaux des différents sous-traitants indiens, les prix de revient des différents anti-viraux actuellement testés contre le Covid-19.

Comme on le voit sur ce tableau, même les molécules réputées onéreuses, utilisées actuellement contre le Sida ou les hépatites, même ces molécules ont un prix de revient très modeste, que ce soit (colonne de droite) pour le coût journalier, ou (colonne de gauche) pour le coût total d’un traitement.

Où va la différence ? Ci-dessous un exemple de disparités… et donc de bénéfices selon les pays acheteurs.

Prix de vente du Lopinavir/ritonavir, selon les pays.

Ici lien sur l’article complet de Science