C’est une sorte de Kevlar, souple et robuste, qu’on peut assembler par impression 3D sur une matrice anatomique. Une avancée pour toutes les pathologies articulaires, y compris rachidiennes.
Que ce soit par intuition ou bien selon une réflexion, tous les hommes avant nous ont affirmé que notre monde est né de la lumière. Et cela sans synchrotron ni satellite d’observation … Quant à nous, plus notre savoir augmente, et plus nous pouvons intégrer cette idée.
Cette
lumière est impalpable, omniprésente, et il va falloir de sacrées
circonvolutions de la pensée pour la faire aboutir à de la matière palpable et
localisée.
Surtout
lorsque, de l’aveu même de nos chercheurs de pointe, nos moyens d’observations
“passent à coté” de 73 à 90% de la matière existante. Existante, car néanmoins
mesurable en astrophysique pour caractériser les galaxies et l’évolution de
l’univers. Mais pas du tout mesurable dans le microcosme, à l’échelle nano …
Comme chez l’homme, la prévalence du cancer chez les carnivores domestiques a augmenté ces dernières années et l’oncologie vétérinaire se développe de plus en plus face à la demande de soins des propriétaires.
L’objectif de la chimiothérapie conventionnelle est de détruire un maximum de cellules cancéreuses à chaque séance, tout en permettant aux tissus sains de se régénérer entre deux séances. Cette période de repos dure en moyenne 3 semaines.
La chimiothérapie métronomique utilise quant à elle, les mêmes agents cytotoxiques mais Per Os à faible dose et plus fréquemment, à des intervalles variant d’une journée à une semaine. Son objectif principal est de cibler le microenvironnement tumoral essentiel à la survie de la tumeur. Les cellules tumorales sont alors atteintes de manière indirecte.
On est assez désemparés par l’avalanche d’informations souvent contradictoires et faussées par des intérêts catégoriels ou économiques . Le tableau ci-dessous me semble bien construit et rassemble à ce jour (le 10 juin…) l’ensemble des savoirs utiles.
Le fameux DSM, la bible des psychiatres et des neurologues, comprend plus de 400 définitions et descriptions de troubles mentaux. En fait, beaucoup se recoupent, car on butte sur les imperfections du vocabulaire, sur les aprioris religieux ou sociaux (l’homosexualité en a été retirée en 1974), mais aussi sur des contingences historiques ou locales. Et donc vraiment difficiles à démêler …
Il y a des convenances médicales qui changent avec les époques: la mélancolie, tout comme l’hystérie, sont “passées de mode”, mais remplacées par diverses appellations savantes auxquelles correspondent des traitements, donc des médicaments dûment testés et avalisés par des autorités médicales. Et puis il y a des psychoses “locales” souvent ignorées par le fameux DSM, car elles ne “rentrent pas dans les cases”.
Pour décortiquer les savoirs actuels sur la physique quantique et ses applications en médecine, nous voilà partis pour une douzaine d’articles à paraître sur deux mois, certains en libre lecture, d’autres réservés aux abonné(e)s.
En deçà
(et au delà …) du monde matériel et mesurable, base de notre biologie
moléculaire, les physiciens appréhendent un monde vibratoire chargé d’énergie
et d’informations, qui justement refuse d’être mesuré, sous peine de se
transformer aussitôt en substance matérielle figée sous le nez de
l’observateur.
Un peu
comme si l’eau d’un nuage ou d’un torrent se transformait en glace chaque fois
qu’on veut l’étudier … Et pourtant elle vole, et pourtant elle coule !
Toutes
ces avancées désormais glanées par les physiciens, doivent d’urgence être
intégrées à la biologie et à la médecine, afin d’en contourner les pesanteurs
et les blocages actuels.
La
“médecine quantique” est devenue une tarte à la crême qui attire lecteurs et
curieux, dans laquelle on peut glisser bien des ingrédients gentiment
ésotériques, doctement théologiques ou bien purement mercantiles. C’est facile,
puisque actuellement tout le monde s’y perd …
D’où cette série d’articles qui se veut repère indépendant de nos connaissances et des interprétations qui s’y rattachent.
Premier article: erreurs et contraintes de la méthode scientifique conventionnelle.
Les personnels qui font les prélèvements de gorge sont harnachés, masqués, empatouillés dans les vêtements de sécurité, leurs mouvements sont contrariés, et les frottements parfois un peu rugueux, ou au contraire inefficaces. Avec ce robot, les prélèvements sont plus sûrs et plus rapides . C’est au moins ce qu’en avancent les concepteurs danois.
On nous annonce un surcroît de prélèvements pour identifier les porteurs de virus … maintenant que la pandémie est sur son reflux. Mais sera t’on prêts pour la prochaine “guerre” ?
A part les “césariennes de confort”, les actes thérapeutiques d’urgence sont dues à un manque d’oxygénation du bébé qui entraine une atonie utérine et un arrêt du travail d’accouchement. Le Viagra est un puissant vasodilatateur pelvien, qui permet d’irriguer ici, non pas un pénis défaillant, mais un foetus en stress. A manier avec précaution.
La césarienne (ouverture de l’abdomen pour en extraire le
nouveau né) est une opération pratiquée depuis la nuit des temps. Sauf qu’avant
l’utilisation des anesthésiques, la mère était systématiquement
sacrifiée : selon l’Eglise, la priorité était le baptême du nouveau-né, la
mission sur terre de la maman s’en arrêtant là.
Les progrès ont eu lieu en trois temps :
amélioration de l’asepsie
utilisation des anesthésiques
arrivée des antibiotiques.
La sécurité est désormais assurée, mais pourquoi autant de césariennes (de 15 à 40% selon les maternités…)?
Il y a les césariennes de confort. Confort de la maman, mais aussi confort du médecin … Et puis il y a les césariennes d’urgence, dues à une anoxie imprévue du foetus. Le viagra se présente comme une solution.
L’immunologie n’est plus la filiale vaccinale de l’infectiologie. Le système immunitaire est maintenant observé et compris dans un ensemble physiologique qui regroupe les systèmes nerveux, sanguins, et hormonaux. Et qui prend en compte des affections non infectieuses, comme les cancers, les maladies dégénératives, ou les troubles endocriniens.
Et maintenant ?
Nous avons vu au cours des 5 articles précédents comment l’immunologie est passée du rang de bricolage vaccinatoire à une place prépondérante du savoir médical.
Dans cet article, intéressons nous aux bactéries (amies ou ennemies?) que nous hébergeons dans tout notre corps, et leurs relations avec notre système immunitaire.
Qu’elles soient au plus profond de nous (bactéries de l’intestin, des bronches, du vagin), ou à la surface de notre peau, des dizaines de milliards de bactéries se multiplient en permanence au contact de nos cellules immunitaires de veille. Comment celles-ci font elles le tri entre les « bonnes bactéries » et les indésirables, voire dangereuses ?