En pleine taïga, ce cratère impeccable sorti de nulle part pose un problème que les savants russes n’ont toujours pas résolu. Il faut dire que chaque mission scientifique sur le sujet est une véritable expédition.

En pleine taïga, ce cratère impeccable sorti de nulle part pose un problème que les savants russes n’ont toujours pas résolu. Il faut dire que chaque mission scientifique sur le sujet est une véritable expédition.
Le vautour a soudain pris la place du loup, le méchant prédateur qui dévaste les troupeaux. Entre le sensationnalisme journalistique et les mesquineries paysannes, ce rapace timoré a du mal à faire reconnaître son rôle écologique : il constitue pour tous un allié sanitaire gratuit, qui permet un recyclage utile et à bon compte de toutes les charognes abandonnées dans la nature. A ce titre , il fait barrage à bien des affections redoutables.
Avec la chute du prix du baril sous les 40$, les producteurs indépendants des USA ont été laminés, et rachetés un par un par des majors, du secteur, ou par des financiers patients et bien informés … Et trois ans plus tard, à 80 € le baril, la production devient extrêmement rentable et on va assister à un nouveau rush de forages…
Les effets bénéfiques de la lumière solaire ont été mis en pratique dans les années 50°, surtout au profit des tuberculeux. Un médecin roumain, Jean Saidman, a conçu et réalisé un solarium-manège efficace, mais onéreux ...
Si le miel et la gelée royale sont les deux produits de la ruche les plus ancrés dans nos esprits, nos vaillantes abeilles ont plus d’un tour dans leur jabot et leurs alvéoles … Elles savent en particulier préparer un aliment à la fois roboratif, énergétique, digeste, à base de miel et de pollen fermenté : c’est le pain d’abeilles.
On a “démoustiqué” la France en plusieurs étapes, d’abord dans les Landes au XIXème siècle, puis sur la côte méditerranéenne (Camargue, étangs du Languedoc) dans les années 60. Puis on les a oubliés, ces moustiques, jusqu’à maintenant où d’une part de nouvelles conditions climatiques leur font la part belle, d’autre part ils servent de vecteurs à des maladies nouvelles et très difficiles à soigner.
Les nudibranches forment un groupe de « limaces de mer », c’est-à-dire de gastéropodes marins dépourvus de coquille.Sur le dos, l’animal peut porter soit un panache branchial, soit des excroissances tégumentaires, les papilles ou cérates (aéolidiens), qui servent de branchies et dans lesquelles se trouvent les prolongements de la glande digestive.
Continuer la lecture de Des gastéropodes tout nus: les nudibranches.Les plantes sauvages, qui poussent “comme elles peuvent”, présentent des profils moléculaires originaux, et peuvent agir comme de véritables remèdes, faciles à intégrer dans notre alimentation. En tête, l’ortie, le pissenlit, le pourpier, l’épilobe, en tout une vingtaine d’amies à mieux connaître … et à cueillir le long de nos chemins.
Comment survivre dans une eau trois fois plus salée que son propre sang, sans pouvoir accéder à de l’eau douce ? Les mammifères marins (mais aussi oiseaux et reptiles) ont dû mettre en place au cours des millénaires, des adaptations anatomiques et physiologiques. Et ça marche parfaitement.
Le sommeil est-il un phénomène purement neurologique ? Chez nous les humains, on considère que c’est le système nerveux, essentiellement l’encéphale, qui mène le jeu. Et pourtant, les espèces animales primitives, sans aucun cerveau, présentent un repos métabolique séquencé, une sorte de sommeil. Intéressant ?