Un phénomène naturel qu’on peut contrôler par une diététique simple et peu contraignante
On appelle très doctement sarcopénie cette fonte musculaire
des seniors, au cours d’un processus qui s’emballe, mais qu’on pourrait
corriger, mais il faudrait alors modifier tous les principes diététiques actuellement
appliqués, par incompétence, négligence ou parcimonie.
Connaissant mieux ce phénomène auto-régulateur, la médecine peut s’appuyer sur ces facteurs de stress contrôlés pour assurer la santé en retour. Mais avec des procédés (jeûne, froid, efforts physiques) qui ne sont pas moléculaires. Donc pas orthodoxes …
Nous l’avons vu, l’hormésis est un phénomène global qu’on observe, qu’on mesure, mais qui repose sur une mosaïque d’effecteurs dont on ne connait pas toutes les relations.
On ne peut donc pas le
présenter actuellement
comme une discipline
médicale.
On en reste donc à en appliquer le principe chaque fois qu’il apparaît judicieux
La “maladie du soda”, ça parle mieux que la “stéatohépatite non alcoolique”. Mais c’est tout aussi fumeux!
On a appris l’existence de cette maladie lorsqu’elle a touché Pierre Ménès, célèbre journaliste footbalistique, qui on s’en doute depuis, buvait beaucoup de sodas …
La NASH est la forme la plus sévère de la surcharge du foie en lipides, la stéatose hépatique. Cette stéatose hépatique est très courante et elle accompagne des maladies comme le diabète ou le syndrôme métabolique. La cause est bien connue: malbouffe, grignotage, excés permanent de sucres, en particulier du fructose caché dans les plats industriels. De fait, cette stéatose touche la majorité des obèses.
Si l’inflammation du foie est absente ou minime dans la banale stéatose hépatique, en cas de NASH, une inflammation chronique plus importante peut conduire à la cirrhose, c’est à dire à la destruction du foie.
Pourtant, en France tout du moins, si la stéatose hépatique est banale, les décès liés à une cirrhose consécutive à une NASH sont si rares qu’ils ne sont pas individualisés dans les causes de décès recensées par l’INSERM.
De 60 ml (l’actuel verre à
sherry), on est passé à ces quasi-vasques propres à garder les arômes, mais
surtout à nous pousser à boire …
Une étude anglaise de
l’Université de Cambridge est formelle : en étudiant la forme et la
contenance de verres à vin, dans les musées, les collections, les ventes aux
enchères, et les magazines actuels, on
peut en retracer l’évolution et la quantifier.
Cette évolution a été très progressive jusque dans les années 1900 (premier doublement de contenance), puis une seconde fois dans les années 1990.
Une hirondelle ne fait pas le printemps. Mais quand elle est attendue
par des millions, la moindre des choses serait de l’observer et de la protéger
…
L’hirondelle, c’est cette série d’expériences d’un médecin américain,
le Dr Valter Longo, prof de gérontologie en Californie, et qui vient d’en
publier les résultats dans “Science Translational Medecine”.
L’idée, c’est de vérifier l’argument des “naturalistes” , selon lesquels un organisme qui vient de subir une épreuve, est mieux armé pour en subir une autre, même plus violente.
Dès qu’on parle biochimie, on ne peut qu’évoquer l’eau comme constituant, vecteur et organisateur primordial de tout le vivant. N’oublions pas que si nous sommes globalement composés à 70% d’eau en terme de masse, ce chiffre atteint 99% en nombre de molécules: une seule molécule sur cent n’est pas de l’eau! Et l’on va bien sûr retrouver l’eau à la fois sous sa forme de matière, sous son aspect énergétique, et (grands mystères de l’eau depuis toujours!) dans ses capacités informatives à la fois locales, mais aussi globales.