La terrible apparition de maladies vasculaires (et organiques diverses) liées à l’épidémie de covid met en évidence la toxicité féroce de cette protéine spike, celle qu’on a choisie pour produire une immunité humorale via des vaccins. Toxicité avérée, mais issue du virus sauvage, ou bien de l’action vaccinale ?
Lors de la première phase de la pandémie (mars 2021), alors que personne n’était vacciné, les lésions vasculaires, essentiellement pulmonaires, étaient mises sur le compte d’une réaction immunitaire et inflammatoire très violente, qu’on n’a pas su encadrer et soigner. Une catastrophe sanitaire et un carton rouge pour le système médical.
Puis d’un seul élan, les laboratoires on imaginé et créé en quelques mois des vaccins en utilisant pour antigène la spicule (spike) permettant l’entrée du virus dans les cellules . Soit sous forme d’un vaccin traditionnel (présentation de l’antigène aux cellules immunitaires), soit sous forme d’un procédé tout nouveau: l’injection d’ARN messager induisant la production des spikes par l’organisme lui-même, étant entendu que cet ARN allait rester dans les cellules musculaires des vacciné(e)s et ne pas s’étendre dans tout l’organisme.
La pandémie s’étendant (malgré les vaccinations qui promettaient une protection à 90, voire 95%, rappelons nous), on a vu apparaître en grand nombre des cas de vascularites, en particulier chez des jeunes adultes, soit vaccinés, soit ayant subi un épisode de covid.
Au passage, remarquons qu’il est très difficile, sinon impossible, d’avoir le statut exact (vacciné? testé? malade? symptomatique?) de la population. Que ce soit en termes de statut pathologique (gravité) qu’en terme de mortalité.
Donc difficile de dire si ces pathologies vasculaires sont dues aux virus sauvages ou bien aux spikes vaccinaux. Les études post mortem (autopsies d’organes) sont rares et manquent de fil directeur pour cadrer cette question.
Il est intéressant de suivre les travaux du Docteur Michael Mörz, pathologiste à Dresde en Allemagne, qui ont été publiés dans la National Library of Medicine sur PubMed.gov. Il décrit très bien, preuves à l’appui, les différentes lésions ayant engendré ses troubles et le décès : myocardite et encéphalite nécrosante diffuse, et apporte la preuve de l’agent causal : la protéine spike d’origine vaccinale.
Ce travail documente la présence abondante de la protéine spike vaccinale dans les capillaires du cerveau et du cœur, et montre comment elle est associée à la vascularite, à l’encéphalite nécrosante et à la myocardite. Le Dr Rob Rennebohm, à qui l’on doit une partie de ce résumé de l’article original, l’a fait contrôler par un neuropathologiste, qui l’a validé et a été impressionné par la qualité scientifique du travail (bien que vacciné lui-même).
QUELLE PROTÉINE SPIKE ? VIRALE OU VACCINALE ?
Michael Mörz a également apporté la preuve que ces lésions étaient liées à la présence de protéine spike d’origine vaccinale, par coloration immunohistochimique à la recherche d’antigènes du Sars-Cov-2, concernant la protéine spike et la nucléocapside.
Les vaccins à ARNm incitent le système immunitaire à produire des anticorps uniquement contre une spike définie par l’ARNm, et contre aucune des autres protéines du SRAS-CoV-2. Une personne vaccinée ne développe donc que des anticorps contre la spike (glycoprotéine située à la surface du virus permettant au virus de pénétrer dans les cellules humaines). Par contre une personne infectée par le virus va développer 2 types d’anticorps : contre la protéine spike (S) et contre la protéine de la nucléocapside (N), située à l’intérieur du virus, et très différente de la protéine spike.
Mörz n’a trouvé que de la spike vaccinale et non virale. Si la spike avait été d’origine virale naturelle, la protéine de pointe et la protéine de nucléocapside auraient dû être présente. L’absence de cette dernière démontre que la protéine spike était d’origine vaccinale. Les tests de présence de la protéine spike positifs et les tests de présence de la protéine nucléocapside négatifs, signent bien l’origine vaccinale des vascularites, myocardites et encéphalites.
Voir ici l’ensemble des articles parus dans ce blog sur la pandémie
La sous-unité 1 de la spike a été retrouvée dans l’endothélium, les cellules microgliales et les astrocytes dans les zones nécrotiques. De plus la spike a été retrouvée dans des zones de périartérite de l’aorte thoracique, abdominale, dans les artères iliaques et de la base du tronc cérébral, montrant la grande affinité de la spike pour tout le réseau artériel, gros ou petit.
Par contre, la protéine de la nucléocapside du Sars-Cov-2 n’a pu être retrouvée dans aucune des coupes.
Les images présentées dans l’article de Mörz apportent des preuves pour l’hypothèse suivante : lorsque l’ARNm est injecté dans le bras,il passe dans la circulation et se retrouve dans les cellules endothéliales qui tapissent les petits vaisseaux sanguins du cœur et du cerveau (et sans doute dans tous les organes). Une fois à l’intérieur des cellules endothéliales, l’ARNm demande aux ribosomes de la cellule de fabriquer la protéine spike.
La protéine spike migre ensuite vers la surface externe de la cellule endothéliale, et le système immunitaire reconnaît alors la protéine spike (ou ses fragments) comme étrangère et en conclut que la cellule endothéliale est infectée. En conséquence, le système immunitaire envoie des lymphocytes et d’autres cellules inflammatoires dans les parois du vaisseau pour attaquer la cellule endothéliale présumée infectée. La paroi du vaisseau s’enflamme (vascularite) et, au cours de ce processus, les cellules endothéliales subissent des lésions immunologiques et peuvent gonfler à des degrés divers.
Comment interpréter ces travaux? Ils sont sérieux, et indubitables, mais ne reposent que sur un malade décédé.
Peut-on généraliser à des milliers de malades? La réponse est fondamentale, puisque plusieurs milliards de personnes ont accueilli dans leur organisme ce procédé “innovant” de “protection”.