Pourquoi le vaccin russe Sputnik est sur une bonne voie.

L’annonce du développement rapide de ce vaccin a été plutôt fraîchement accueillie: précipitation, manque de précautions et d’éthique, valeur inconnue des immunologistes concernés … et grosse jalousie des Big Labs qui voient se dissoudre les milliards convenus avec l’OMS et les états … Mais si ce vaccin était justement sur la bonne piste ?

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Médicaments: les chimistes sont les princes de l’immédiat.

Avec la médecine allopathique, on soigne la matière avec de la matière, des molécules thérapeutiques ou parfois des alicaments industriels. Les chimistes ont la haute main, on l’a vu avec la tragi-comédie médiatique de ces derniers mois: on a vu défiler des molécules, accompagnées d’interdits ou de panégyriques, tous types d’autres soins étant mis au rencard sous injonction de poursuites. Et pourtant …

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L’aviptadil, un nouveau venu dans les remèdes anti Covid.

C’est un vasodilatateur puissant, jusqu’ici réservé aux impuissances masculines: injecté dans le pénis, il déclenche un afflux de sang dans le caverneux. Inhalé dans les poumons, il permet de s’affranchir des dispositifs de respiration. C’est donc un candidat intéressant pour les malades du covid.

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Quand on ouvrait des écoles à l’air libre …

On a bien oublié la tuberculose… Cette maladie essentiellement pulmonaire a imposé le développement de thérapies à base d’hygiène sur une base très simple: le grand air: préventoriums, sanatoriums, mais aussi écoles à l’air libre, en particulier en France et en Allemagne.

Ecole de Suresnes (France)
Cantine scolaire en Allemagne (1904)

On n’a pas idée actuellement de l’importance de la tuberculose sur les populations jusque dans les années 50. Dans le monde entier, citadins comme ruraux en situations d’hygiène déplorables, en cohabitation très dense (ça ne vous rappelle rien ?), ont subi ce qui n’était pas une pandémie comme pour le Covid, mais plutôt une fatalité sanitaire. A l’époque, sans antibiotiques efficaces, les soins reposaient sur “la vie au grand air”. Préventoriums, sanatoriums … et bâtiments scolaires aérés se sont multipliés, on pourrait actuellement s’y référer pour des pathologies plus actuelles.

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L’hydroxychloroquine revient en catimini …

L’arrêté du 26 mai 2020, qui interdisait aux médecins de ville d’utiliser le plaquénil, vient d’être abrogé en catimini par un arrêté du 10 juillet. On ne peut pas dire que ça intéresse la presse …

Comment un gouvernement qui a eu tout faux dans le domaine des décisions médicales peut se défiler d’une situation dangereuse puisque d’une part une grande majorité des médecins, hôpitaux compris, utilisent le doublé plaquénil/azythromycine (et sont gentiment hors la loi), et d’autre part nous sommes partis pour une maladie à rebonds sur au moins plusieurs saisons, et que les protocoles imposés par un cénacle parisien ont tous montré leur inefficacité, voire leur dangerosité.

Cela va devenir chaud pour ces décisionnaires qu’on ne voit plus guère sur les plateaux…

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