Les travaux de Pierre Weill démontrent de manière absolue qu’incorporer du lin dans nos cultures, et de même dans l’alimentation du bétail, représente une capacité évidente de tréserver nos sols, d’améliorer la santé et les productions animales, et enfin d’agir sur nos pathologies chroniques. En terme de néo-économie, on peut parler de win-win-win.
Continuer la lecture de Le lin, cet oublié de nos cultures.Catégorie : DIÉTÉTIQUE
La cuiller qui sale… sans le sel
Comment un tout petit courant électrique peut leurrer nos papilles et diminuer nos consommations de sel …
Continuer la lecture de La cuiller qui sale… sans le selLe soufre dans notre alimentation
Le Soufre provient en grande partie des acides aminés soufrés et sous forme organique non-oxydé des aliments comme l’ail, les condiments, les œufs et bien sur des eaux thermales.
Continuer la lecture de Le soufre dans notre alimentationOzempic, Wegovy : quels risques d’usage détourné avec ces médicaments pour le diabète et l’obésité ?
Après l’antidiabétique Ozempic, la même molécule (le sémaglutide) est désormais commercialisée à plus forte dose, cette fois pour l’obésité, sous le nom Wegovy. Pour éviter les usages détournés pour maigrir hors de tout contrôle médical, les modalités de prescription sont restreintes.
Continuer la lecture de Ozempic, Wegovy : quels risques d’usage détourné avec ces médicaments pour le diabète et l’obésité ?L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (8)
Système parasympathique, nerf vague et substances amères.
Que vient faire cette particularité nerveuse dans cet ouvrage sur les molécules amères ? De fait, les chercheurs en neurologie et les diététiciens fonctionnent dans des mondes séparés. Hé bien dans cet article, nous allons réunir leurs savoirs …
Continuer la lecture de L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (8)L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (7)
Ces récepteurs d’amertume ont une fonction de reconnaissance gustative sur la langue, mais se retrouvent dans tout l’organisme avec des rôles spécifiques, de type nerveux ou bien immunitaires.
Continuer la lecture de L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (7)L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (4)
La longue histoire des récepteurs de goût; ou là encore, la fonction crée l’organe … L’organisme s’adapte en permanence à ses besoins. Par voie génique ou épigénétique…
Continuer la lecture de L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (4)L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (2)
La perception du goût: olfaction rétro-nasale, puis gustation via la langue et le pharynx, avec des efférences nerveuses différentes.
Continuer la lecture de L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (2)L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (1)
Cette saveur amère, peu appréciée spontanément, est un signal d’alerte pour l’organisme, en bouche bien sûr, mais également dans tout le corps où des récepteurs spécifiques détectent les molécules amères, et mettent en route des réactions de défense et de modulation immunitaire. Une saveur qui protège notre santé !
Depuis quelques années, les laboratoires de recherche se passionnent pour les substances amères (des centaines de molécules, essentiellement issues de plantes), leur place dans la phylogénie des végétaux, leur rôle dans la co-évolution plantes/animaux, dans notre propre historique alimentaire, enfin dans les effets bénéfiques qu’on peut en attendre.
C’est passionnant et prometteur. Je vous promets une quinzaine de billets sur ce sujet. Bienvenue dans les prémices de l’amérothérapie.
Continuer la lecture de L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (1)Relations entre la malbouffe et l’usure cérébrale.
une alimentation de mauvaise qualité entraine des changements dans la structure du cerveau liés à la dépression et à l’anxiété: nouvelles perspectives sur le lien entre ce que nous mangeons et notre bien-être mental.
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