Notre peau est bien sûr la barrière physique de notre corps, mais c’est aussi une usine biologique, très active, et sensible aux brûlures du soleil. A court terme (le “coup de soleil”); mais aussi sur le long terme, et parfois gravement.

Notre peau est bien sûr la barrière physique de notre corps, mais c’est aussi une usine biologique, très active, et sensible aux brûlures du soleil. A court terme (le “coup de soleil”); mais aussi sur le long terme, et parfois gravement.
Ces trous noirs dans l’univers, de la matière tellement dense qu’elle absorbe même la lumière … et aussi les odeurs ?
Certaines espèces de fourmis présentent parmi leurs ouvrières, des véritables infirmières, qui produisent et accumulent dans leur abdomen une substance sucrée, très nourrissante, mais aussi pleine de capacités anti-infectieuses.
Heureusement non, il s’agit d’une femelle oriole de Baltimore qui rassemble des touffes de crins de cheval et des fibres de chanvre pour édifier son nid. Vive la vie !
Photo: Sandra M. Rothenberg / Prix de photographie Audubon 2023
Comment expliquer que dans les profondes nappes aquifères totalement anoxiques, des bactéries aérobies puissent se développer et prospérer ? C’est qu’elles ont des copines, qui elles, leur procurent de l’oxygène, via un processus de dismutation …
L’Australie regorge d’animaux “ensauvagés” (chats harets, chiens dingos, dromadaires et chevaux). Concernant les chats, il s’avère qu’ils sont des prédateurs redoutables pour les oiseaux, mais aussi pour les koalas, espèce protégée. Il a été décidé d’éradiquer cette population, via un robot récemment présenté.
Les aberrations et les mensonges qui ont accompagné les narratifs du Covid ont mis en avant l’existence de cet animal trop gentil et bientôt trop rare: le pangolin.
Ce sont généralement des circonstances accidentelles (déchets de beuveries humaines, fermentations de fruits) qui entrainent des comportements d’ivresse, mais parfois les animaux ne demandent qu’à y revenir ….
Après avoir identifié nos hôtes microscopiques (microbiotes), nous savons désormais (microbiome) les quantifier et en mesurer l’évolution, tant chez des malades que chez les personnes en bonne santé. Hé bien oui, nos compagnons de vie sont de première importance.
S’ils s’accumulent dans les mers et océans, les micro-plastiques sont drainés en amont via les rivières et les grands lacs. Ils constituent un risque majeur pour les organismes vivants de tous les écosystèmes hydriques.