Les récepteurs gustatifs sont regroupés dans des bourgeons gustatifs, eux-mêmes inclus dans les papilles gustatives de la bouche, ou (nous le verrons plus loin), dans les cellules touffes réparties dans d’autres tissus du corps.
Continuer la lecture de L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (6)L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (5)
Odeurs, phéromones, saveurs … autant de sensations à base moléculaire (contrairement aux sons et lumières…), ressenties par des organes différents, pour en informer un cerveau qui réagit en y intégrant mémoire, émotions et implications sociales.
Continuer la lecture de L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (5)L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (4)
La longue histoire des récepteurs de goût; ou là encore, la fonction crée l’organe … L’organisme s’adapte en permanence à ses besoins. Par voie génique ou épigénétique…
Continuer la lecture de L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (4)L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (2)
La perception du goût: olfaction rétro-nasale, puis gustation via la langue et le pharynx, avec des efférences nerveuses différentes.
Continuer la lecture de L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (2)L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (1)
Cette saveur amère, peu appréciée spontanément, est un signal d’alerte pour l’organisme, en bouche bien sûr, mais également dans tout le corps où des récepteurs spécifiques détectent les molécules amères, et mettent en route des réactions de défense et de modulation immunitaire. Une saveur qui protège notre santé !
Depuis quelques années, les laboratoires de recherche se passionnent pour les substances amères (des centaines de molécules, essentiellement issues de plantes), leur place dans la phylogénie des végétaux, leur rôle dans la co-évolution plantes/animaux, dans notre propre historique alimentaire, enfin dans les effets bénéfiques qu’on peut en attendre.
C’est passionnant et prometteur. Je vous promets une quinzaine de billets sur ce sujet. Bienvenue dans les prémices de l’amérothérapie.
Continuer la lecture de L’amertume, cette saveur désagréable qui nous soigne (1)La musique est incrustée dans nos mémoires.
Face aux affres du vieillissement, la mémoire musicale résiste. Mélodies et thèmes musicaux s’ancrent profondément dans notre esprit, même face à des maladies neurodégénératives comme Alzheimer.
Continuer la lecture de La musique est incrustée dans nos mémoires.Chronobiologie: l’intensité de la douleur est contrôlée par notre horloge interne
Comme de très nombreuses fonctions de l’organisme, l’intensité de la douleur est contrôlée par l’horloge circadienne interne. Elle oscille sur 24 heures avec un pic la nuit et une baisse dans l’après-midi indépendamment de toute stimulation extérieure et du cycle veille-sommeil.
Continuer la lecture de Chronobiologie: l’intensité de la douleur est contrôlée par notre horloge interneAu Moyen Âge, l’état amoureux était parfois synonyme de maladie
La passion amoureuse , quasi pathologique, s’oppose au dévouement à l’autre, sentiment prescrit tant par l’Eglise que par le système féodal.
Continuer la lecture de Au Moyen Âge, l’état amoureux était parfois synonyme de maladieRelations entre la malbouffe et l’usure cérébrale.
une alimentation de mauvaise qualité entraine des changements dans la structure du cerveau liés à la dépression et à l’anxiété: nouvelles perspectives sur le lien entre ce que nous mangeons et notre bien-être mental.
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Cette maladie essentiellement africaine, essentiellement sexo-transmissible, nous est présentée comme un danger majeur pour la terre entière … mais rassurez vous, il existe une solution vaccin !
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