Toute la chimie repose sur les échanges ou les mises en commun d’électrons entre les atomes pour former des molécules biologiquement actives. Comme le photon, c’est une entité difficile à apprécier dans le temps comme dans l’espace.
Au sein de la matière, il est une onde-particule qui ressemble bigrement au photon, c’est l’électron. Situé en périphérie des noyaux atomiques, lui aussi n’existe que sous forme d’onde à la présence aléatoire, à la position toute statistique, mais il apparaît spontanément au moment de sa détection. Et dès lors, il devient docile, se laisse localiser, mesurer, et accepte même d’être apprivoisé pour des usages propres à l’homme.
Le photon est en fait très mal nommé. On lui a gardé son nom de particule, de “grain de lumière”, nous dirons sa polarité “yang”, alors qu’il n’est qu’exceptionnellement sous cette forme. Uniquement pour flatter nos sens !
C’est une sorte de Kevlar, souple et robuste, qu’on peut assembler par impression 3D sur une matrice anatomique. Une avancée pour toutes les pathologies articulaires, y compris rachidiennes.
Que ce soit par intuition ou bien selon une réflexion, tous les hommes avant nous ont affirmé que notre monde est né de la lumière. Et cela sans synchrotron ni satellite d’observation … Quant à nous, plus notre savoir augmente, et plus nous pouvons intégrer cette idée.
Cette
lumière est impalpable, omniprésente, et il va falloir de sacrées
circonvolutions de la pensée pour la faire aboutir à de la matière palpable et
localisée.
Surtout
lorsque, de l’aveu même de nos chercheurs de pointe, nos moyens d’observations
“passent à coté” de 73 à 90% de la matière existante. Existante, car néanmoins
mesurable en astrophysique pour caractériser les galaxies et l’évolution de
l’univers. Mais pas du tout mesurable dans le microcosme, à l’échelle nano …
Comme chez l’homme, la prévalence du cancer chez les carnivores domestiques a augmenté ces dernières années et l’oncologie vétérinaire se développe de plus en plus face à la demande de soins des propriétaires.
L’objectif de la chimiothérapie conventionnelle est de détruire un maximum de cellules cancéreuses à chaque séance, tout en permettant aux tissus sains de se régénérer entre deux séances. Cette période de repos dure en moyenne 3 semaines.
La chimiothérapie métronomique utilise quant à elle, les mêmes agents cytotoxiques mais Per Os à faible dose et plus fréquemment, à des intervalles variant d’une journée à une semaine. Son objectif principal est de cibler le microenvironnement tumoral essentiel à la survie de la tumeur. Les cellules tumorales sont alors atteintes de manière indirecte.
On est assez désemparés par l’avalanche d’informations souvent contradictoires et faussées par des intérêts catégoriels ou économiques . Le tableau ci-dessous me semble bien construit et rassemble à ce jour (le 10 juin…) l’ensemble des savoirs utiles.
Le fameux DSM, la bible des psychiatres et des neurologues, comprend plus de 400 définitions et descriptions de troubles mentaux. En fait, beaucoup se recoupent, car on butte sur les imperfections du vocabulaire, sur les aprioris religieux ou sociaux (l’homosexualité en a été retirée en 1974), mais aussi sur des contingences historiques ou locales. Et donc vraiment difficiles à démêler …
Il y a des convenances médicales qui changent avec les époques: la mélancolie, tout comme l’hystérie, sont “passées de mode”, mais remplacées par diverses appellations savantes auxquelles correspondent des traitements, donc des médicaments dûment testés et avalisés par des autorités médicales. Et puis il y a des psychoses “locales” souvent ignorées par le fameux DSM, car elles ne “rentrent pas dans les cases”.
Pour décortiquer les savoirs actuels sur la physique quantique et ses applications en médecine, nous voilà partis pour une douzaine d’articles à paraître sur deux mois, certains en libre lecture, d’autres réservés aux abonné(e)s.
En deçà
(et au delà …) du monde matériel et mesurable, base de notre biologie
moléculaire, les physiciens appréhendent un monde vibratoire chargé d’énergie
et d’informations, qui justement refuse d’être mesuré, sous peine de se
transformer aussitôt en substance matérielle figée sous le nez de
l’observateur.
Un peu
comme si l’eau d’un nuage ou d’un torrent se transformait en glace chaque fois
qu’on veut l’étudier … Et pourtant elle vole, et pourtant elle coule !
Toutes
ces avancées désormais glanées par les physiciens, doivent d’urgence être
intégrées à la biologie et à la médecine, afin d’en contourner les pesanteurs
et les blocages actuels.
La
“médecine quantique” est devenue une tarte à la crême qui attire lecteurs et
curieux, dans laquelle on peut glisser bien des ingrédients gentiment
ésotériques, doctement théologiques ou bien purement mercantiles. C’est facile,
puisque actuellement tout le monde s’y perd …
D’où cette série d’articles qui se veut repère indépendant de nos connaissances et des interprétations qui s’y rattachent.
Premier article: erreurs et contraintes de la méthode scientifique conventionnelle.
Les Deschiens avaient l’art de porter en dérision des thèmes scientifiques (Les trous noirs, l’évolution, les réseaux internet, etc). Ici une plaidoirie enfiévrée pour défendre la vivisection….
Les personnels qui font les prélèvements de gorge sont harnachés, masqués, empatouillés dans les vêtements de sécurité, leurs mouvements sont contrariés, et les frottements parfois un peu rugueux, ou au contraire inefficaces. Avec ce robot, les prélèvements sont plus sûrs et plus rapides . C’est au moins ce qu’en avancent les concepteurs danois.
On nous annonce un surcroît de prélèvements pour identifier les porteurs de virus … maintenant que la pandémie est sur son reflux. Mais sera t’on prêts pour la prochaine “guerre” ?