La plupart des « sorcières » persécutées en Europe à partir du XVe siècle étaient en réalité des sages-femmes et des guérisseuses, héritières d’une longue tradition d’exercice laïc de la médecine, plus pragmatique que théorique.
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La plupart des « sorcières » persécutées en Europe à partir du XVe siècle étaient en réalité des sages-femmes et des guérisseuses, héritières d’une longue tradition d’exercice laïc de la médecine, plus pragmatique que théorique.