Très nombreux dans notre peau, mais aussi dans de multiples organes, les corpuscules sensibles de Pacini informent le cerveau d’inférences douces, agréables. Certaines musiques sauraient elles agir dans un sens de soulagement et de récupération ?
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Très nombreux dans notre peau, mais aussi dans de multiples organes, les corpuscules sensibles de Pacini informent le cerveau d’inférences douces, agréables. Certaines musiques sauraient elles agir dans un sens de soulagement et de récupération ?
La peau des mammifères, y compris la nôtre, contient de nombreux récepteurs sensoriels qui leur procure une capacité à percevoir toutes sortes d’informations d’origine externe, mécaniques (caresse, contact, pression, choc), thermiques (froid, chaleur), chimiques (acidité) ou vibratoires, mais aussi d’origine interne (étirements du pelage, tension des muscles cutanés).
Ces récepteurs sont des dendrites (extrémités de neurones) modifiées pour percevoir un certain type d’information, grâce à une adaptation locale (capsules de différents modèles) du tissu conjonctif du derme.
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