Au microscope optique, on voit les spermatozoïdes avancer par un frétillement de leur flagelle. En fait, comme au cinéma, on ne voit qu’une partie de leurs mouvements: avec une caméra ultra rapide, on voit apparaître un tout autre modèle de propulsion, qui ressemble à la godille de nos embarcations.
Ce schéma du “forcing d’arrivée” type tour de France n’est pas vraiment exact.
Depuis les travaux de F-A Popp, on sait que la cellule vivante émet des biophotons, qui semblent avoir (quelle surprise!) un rôle à la fois énergétique et de porteur d’informations. A usage interne (un “système nerveux” intérieur de chaque cellule), à usage externe de “conversations” entre cellules, voire entre individus.
C’est un biochimiste reconnu, Illya Prigorine, qui nous a montré que le monde vivant reposait sur des systèmes fonctionnels oscillants entre des positions antagonistes. Pas d’antagonisme, pas de fonction, alors pas de vivant. Et vive l’auto-organisation.
Exemple un peu forcé: la respiration.
Elle oscille entre l’inspiration spontanée, nourricière, yin … et l’expiration
forcée, dépensière, yang … Notre vie tient à ce va-et-vient, qui peut varier
selon de nombreux facteurs qui tiennent à l’émotion, à une inflammation d’allergie,
ou à un noyau de pêche coincé dans la trachée …
C’est un examen de laboratoire qui ressemble à un antibiogramme mais où les antibiotiques sont remplacés par des HE préalablement sélectionnées et de composition biochimique connue grâce à des analyses de laboratoire (chromatographie en phase gazeuse couplée à un spectromètre de masse).
L’aromatogramme permet de déterminer l’efficacité in vitro des Huiles Essentielles. Les résultats obtenus permettront de préparer avec précision une synergie d’Huiles Essentielles afin de lutter contre le germe en cause.
Dans le règne animal. La distanciation sociale se produit non seulement chez les espèces qui mènent toujours des vies solitaires, et s’évitent ainsi même lorsque personne n’est malade, mais aussi chez certaines espèces sociales lorsque les circonstances l’exigent.
Des fourmis aux abeilles en passant par les souris, les singes et les chauve-souris, un éventail d’animaux sociaux modifient leur comportement pour réduire le risque de propagation des infections. Beaucoup utilisent des stratégies qui ne fonctionneraient pas pour les humains, mais elles illustrent toujours pourquoi nous isoler lors d’une épidémie n’est pas aussi naturel que cela puisse paraître.
Toute la chimie repose sur les échanges ou les mises en commun d’électrons entre les atomes pour former des molécules biologiquement actives. Comme le photon, c’est une entité difficile à apprécier dans le temps comme dans l’espace.
Nuage électronique de l’atome d’hydrogène H
Au sein de la matière, il est une onde-particule qui ressemble bigrement au photon, c’est l’électron. Situé en périphérie des noyaux atomiques, lui aussi n’existe que sous forme d’onde à la présence aléatoire, à la position toute statistique, mais il apparaît spontanément au moment de sa détection. Et dès lors, il devient docile, se laisse localiser, mesurer, et accepte même d’être apprivoisé pour des usages propres à l’homme.
Le photon est en fait très mal nommé. On lui a gardé son nom de particule, de “grain de lumière”, nous dirons sa polarité “yang”, alors qu’il n’est qu’exceptionnellement sous cette forme. Uniquement pour flatter nos sens !